Agenda

    Singspiel en deux actes (1791)
    Musique  Wolfgang Amadeus Mozart
    Livret  Emanuel Schikaneder 

    En langue allemande
    Surtitrage en français et en anglais

    Direction musicale  Henrik Nánási
    Mise en scène  Robert Carsen 

    Tamino  Stanislas de Barbeyrac  23, 26, 29 janv., 1, 4, 7, 9 ,16 ,20, 23 fév./  Pavol Breslik  28, 31 jan., 3, 6, 10, 17, 21 fév.
    Erste Dame  Gabriela Scherer
    Zweite Dame  Annika Schlicht
    Dritte Dame  Nadine Weissmann
    Papageno  Michael Volle  23, 26, 29 jan., 1, 4, 7, 10, 16, 20, 21 fév. /  Florian Sempey  28, 31 jan., 3, 6, 9, 17, 23 fév.
    Papagena  Christina Gansch
    Sarastro   René Pape  23 jan., 1 > 10 fév. /  Tobias Kehrer  26 > 31 jan., 16 > 23 fév.
    Monostatos  Andreas Conrad
    Pamina  Nadine Sierra  23, 26, 29 jan., 1, 4, 7 fév. /  Kate Royal  3, 6, 10, 17, 21 fév. /  Elsa Dreisig  9, 16, 20, 23 fév.
    Königin der Nacht  Albina Shagimuratova  23, 26, 29 jan., 1, 4, 7, 10, 16, 20 fév. /  Sabine Devieilhe  28, 31 jan., 3, 6, 9, 17, 21, 23 fév.
    Der Sprecher  José Van Dam
    Erster Priester  Sebastian Pilgrim
    Zweitter Priester  Paul Kaufmann
    Erster Geharnischter Mann  Martin Homrich
    Zweitter Geharnischter Mann  Luke Stoker
    Drei Knaben  Solistes des Aurelius Sängerknaben Calw 

    Chef des Chœurs José Luis Basso 
    Orchestre et Chœurs de l'Opéra national de Paris

    Coproduction avec le Festspielhaus, Baden-Baden

    Surtitrage en français et en anglais
    Durée 3h05 avec 1 entracte 

    Le dernier opéra de Mozart est un feu d’artifice en forme de conte initiatique. S’y côtoient le prince d’un pays lointain à la recherche d’une princesse légèrement suicidaire, un serpent géant et un oiseleur fanfaron, une Reine de la Nuit et un grand prêtre, moins ténébreux qu’il n’y paraît, imposant d’étranges rites de passage… De ce mélange improbable résulte une oeuvre féerique et dramatique qui peut, tour à tour, être entendue comme une merveilleuse histoire pour enfants ou comme la plus profonde méditation sur la vie et la mort. Vingt ans après une première mise en scène donnée au Festival d’Aix-en-Provence, cette production a marqué les retrouvailles de Robert Carsen avec l’opéra de Mozart. Il pose sur l’œuvre un regard nouveau et nous livre une Flûte enchantée épurée, élégante et incarnée : un joyau sombre où les apparences se révèlent souvent trompeuses…