Extraits de Rodelinda, Ariodante, Rinaldo, Alcina...
On ne présente plus le Cercle de l'Harmonie, dirigé ici par son premier violon Julien Chauvin, ni la grande soprano canadienne Karina Gauvin, inégalable dans Händel. Ces deux velours, l'un instrumental et l'autre vocal, conviennent idéalement à l'art de Händel, mélodiste incomparable et génie de la caractérisation psychologique. Ils passeront de la jubilation de Da tempeste (Giulio Cesare) ou Dopo Notte (Ariodante) au désespoir bouleversant de Ah mio cor (Alcina).