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    Cette œuvre, en laquelle Glenn Gould ne voyait ni début ni fin, demeure un monument de la musique de clavier en général. Dans aucune autre de ses pages pour clavecin, Bach n’a sans doute atteint une telle intensité, et il faudra très certainement attendre les Variations Diabelli de Beethoven pour retrouver, dans le genre de la variation, un tel sommet.
    Elles sont interprétées au piano par Rémi Masunaga.