C’est la plus romantique des symphonies de Mozart, celle dont Schumann disait « que chaque note est de l’or pur, chaque partie un trésor… » Attendue par tous, la célébrissime Symphonie en sol mineur conclura un programme non moins superlatif, avec des airs d’opéras du même Mozart et Siegfried-Idyll, l’ensorcelante berceuse orchestrale que Wagner composa pour la naissance de son fils. Plus rares, les Lieder de Jeunesse de Mahler, sur des poésies populaires germaniques, nous introduiront dans l’univers à la fois pittoresque et tragique du grand musicien viennois.