Agenda
Arlucs Symphonique - Jardins d'Aranjuez / Orchestre national de cannes
Futurs concerts
Distribution :
ORCHESTRE NATIONAL DE CANNES
KAREL DESEURE DIRECTION
MARIE-PIERRE LANGLAMET HARPE
KAREL DESEURE DIRECTION
MARIE-PIERRE LANGLAMET HARPE
Programme :
OTTORINO RESPIGHI
Gli Uccelli (1928)
JOAQUIM RODRIGO
Concierto d’Aranjuez pour guitare et orchestre en ré majeur (1940)
Transcription pour harpe et orchestre (1974)
TORU TAKEMITSU
How slow the wind (1991)
MAURICE RAVEL
Ma mère l'Oye (1910)
Gli Uccelli (1928)
JOAQUIM RODRIGO
Concierto d’Aranjuez pour guitare et orchestre en ré majeur (1940)
Transcription pour harpe et orchestre (1974)
TORU TAKEMITSU
How slow the wind (1991)
MAURICE RAVEL
Ma mère l'Oye (1910)
Infos complémentaires :
En 1928, l’italien Respighi emprunte des thèmes de compositeurs baroques et compose Gli Uccelli, Les Oiseaux, suite pour orchestre en cinq mouvements inspirés par les vocalises d’oiseaux.
Dix ans plus tard, l’espagnol Rodrigo compose son célèbre Concierto d’Aranjuez, œuvre mettant également la nature à l’honneur à travers, comme le souligne le compositeur, « les fragrances des magnolias, le chant des oiseaux, et les ruissellements des fontaines ». Proposé dans sa transcription pour harpe et orchestre, il est interprété par Marie-Pierre Langlamet, chambriste et soliste de renom, membre du Berliner Philharmoniker.
Inspirée d’un poème d’Emily Dickinson, How Slow the Wind de Takemitsu est une parenthèse paisible, évoquant le calme précédent ou suivant une catastrophe naturelle, tandis que Ravel nous plonge dans le merveilleux avec Ma mère l’Oye, écrit à partir des contes de fée de Charles Perrault où nature et enfance se rencontrent.
–
Durée : environ 1h15 sans entracte
Dix ans plus tard, l’espagnol Rodrigo compose son célèbre Concierto d’Aranjuez, œuvre mettant également la nature à l’honneur à travers, comme le souligne le compositeur, « les fragrances des magnolias, le chant des oiseaux, et les ruissellements des fontaines ». Proposé dans sa transcription pour harpe et orchestre, il est interprété par Marie-Pierre Langlamet, chambriste et soliste de renom, membre du Berliner Philharmoniker.
Inspirée d’un poème d’Emily Dickinson, How Slow the Wind de Takemitsu est une parenthèse paisible, évoquant le calme précédent ou suivant une catastrophe naturelle, tandis que Ravel nous plonge dans le merveilleux avec Ma mère l’Oye, écrit à partir des contes de fée de Charles Perrault où nature et enfance se rencontrent.
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Durée : environ 1h15 sans entracte