Agenda
BAÙBO de JEANNE CANDEL
Futurs concerts
Distribution :
Mise en scène Jeanne Candel
Direction musicale Pierre-Antoine Badaroux
Scénographie Lisa Navarro
Costumes Pauline Kieffer
Lumières Fabrice Ollivier
Collaboration artistique Marion Bois et Jane Peters
De et avec :
Pierre-Antoine Badaroux, Félicie Bazelaire, Prune Bécheau, Jeanne Candel,
Richard Comte, Pauline Huruguen, Pauline Leroy, Hortense Monsaingeon et Thibault Perriard
Direction musicale Pierre-Antoine Badaroux
Scénographie Lisa Navarro
Costumes Pauline Kieffer
Lumières Fabrice Ollivier
Collaboration artistique Marion Bois et Jane Peters
De et avec :
Pierre-Antoine Badaroux, Félicie Bazelaire, Prune Bécheau, Jeanne Candel,
Richard Comte, Pauline Huruguen, Pauline Leroy, Hortense Monsaingeon et Thibault Perriard
Programme :
BAÙBO
DE L’ART DE N’ÊTRE PAS MORT
JEANNE CANDEL
D’après des œuvres de Buxtehude, Schütz, Musil et d’autres matériaux
Pour Jeanne Candel, unir le geste de mise en scène à la musique est comme une seconde nature. Dans Baùbo, de l’art de n’être pas mort, elle part de la figure de Déméter, à qui sa fille Perséphone a été arrachée, et de celle de Baùbo, la vieille femme qui va redonner le sourire à la déesse. Les comédiens et comédiennes de la compagnie la vie brève vont donc aussi chanter et s’emparer de leurs instruments. Le compositeur Pierre-Antoine Badaroux a transcrit pour ces instruments d’aujourd’hui des pages de Heinrich Schütz, trait d’union entre l’Italie de Monteverdi et l’Allemagne de Bach, pour leur faire participer à une émouvante réflexion sur le deuil et l’amour.
1h40, sans entracte
DE L’ART DE N’ÊTRE PAS MORT
JEANNE CANDEL
D’après des œuvres de Buxtehude, Schütz, Musil et d’autres matériaux
Pour Jeanne Candel, unir le geste de mise en scène à la musique est comme une seconde nature. Dans Baùbo, de l’art de n’être pas mort, elle part de la figure de Déméter, à qui sa fille Perséphone a été arrachée, et de celle de Baùbo, la vieille femme qui va redonner le sourire à la déesse. Les comédiens et comédiennes de la compagnie la vie brève vont donc aussi chanter et s’emparer de leurs instruments. Le compositeur Pierre-Antoine Badaroux a transcrit pour ces instruments d’aujourd’hui des pages de Heinrich Schütz, trait d’union entre l’Italie de Monteverdi et l’Allemagne de Bach, pour leur faire participer à une émouvante réflexion sur le deuil et l’amour.
1h40, sans entracte
Infos complémentaires :
Coréalisation Angers Nantes Opéra et Le Grand T dans le cadre de sa saison mobile
Dans le cadre de Baroque en Scène
Dans le cadre de Baroque en Scène