Agenda
Café Libertà
Futurs concerts
Distribution :
Direction artistique : Jérôme Correas
Chorégraphie et mise en espace : Ambra Senatore
Création lumières : Laurent Fallot
Léa Bellili et Hadhoum Tunc, soprani
Jean-François Lombard, ténor
Matthieu Heim, basse
Clémence Bourgeois, flûte
Mario Konaka, violon solo
Sophie Dutoit, Julia Boyer, Clara Mühlethaler, Fernando Galvez Ramos, violons
Benoit Bursztejn, Martha Moore, alto
Nicolas Crnjanski, Sarah Aguessy, violoncelle
Franck Ratajczyk, contrebasse
Sam Crowther, clavecin
Jérôme Correas, direction
Caterina Basso, Claudia Catarzi, Matteo Ceccarelli et Ambra Senatore, danse
Les Paladins
Chorégraphie et mise en espace : Ambra Senatore
Création lumières : Laurent Fallot
Léa Bellili et Hadhoum Tunc, soprani
Jean-François Lombard, ténor
Matthieu Heim, basse
Clémence Bourgeois, flûte
Mario Konaka, violon solo
Sophie Dutoit, Julia Boyer, Clara Mühlethaler, Fernando Galvez Ramos, violons
Benoit Bursztejn, Martha Moore, alto
Nicolas Crnjanski, Sarah Aguessy, violoncelle
Franck Ratajczyk, contrebasse
Sam Crowther, clavecin
Jérôme Correas, direction
Caterina Basso, Claudia Catarzi, Matteo Ceccarelli et Ambra Senatore, danse
Les Paladins
Programme :
Nicolas Bernier, Cantate Le Caffé
Jean-Sébastien Bach, Cantate du Café
Georg Philipp Telemann, Suite pour orchestre La Bizarre
Monsieur de la Tour, Air à boire Caffé délicieux
Jean-Sébastien Bach, Cantate du Café
Georg Philipp Telemann, Suite pour orchestre La Bizarre
Monsieur de la Tour, Air à boire Caffé délicieux
Infos complémentaires :
Qui eut cru qu’au XVIIIe siècle l’histoire du café et celle de l’évolution des mœurs allaient de pair ? Jérôme Correas (chef d’orchestre et directeur artistique des Paladins) et Ambra Senatore (chorégraphe et directrice du CCNN) s’emparent de cette histoire grâce aux cantates de Bach et de Bernier. Deux cantates pleines d’humour et de poésie, qui parlent de liberté – l’émancipation et la liberté de la femme avec Jean-Sébastien Bach et la liberté de l’esprit avec le français Nicolas Bernier. Avec ce nouveau spectacle, Ambra Senatore et Jérôme Correas revisitent la musique baroque au filtre de la modernité.
Serré ou allongé, au lait ou sans sucre, le café fait partie de notre quotidien depuis le début du XVIIIe siècle. Boisson à la mode dans toute l’Europe, d’abord associé au voyage et à l’exotisme, le café devient vite symbole de liberté et d’émancipation des femmes, par le plaisir qu’il procure, et la faculté qu’il donne de résister au sommeil.
Rares sont les compositeurs tentés d’illustrer en musique le voyage sensoriel que procure le café, car le sujet semble bien frivole.
Jean-Sébastien Bach, peu réputé pour son humour, en fait pourtant le personnage principal d’une cantate comique dans laquelle la jeune Lisette résiste au pouvoir paternel et trouve le courage, grâce à sa boisson favorite dont elle est totalement dépendante, de trouver sa liberté, comme si la condition des femmes était liée à cette boisson magique qui rend libre…
De son côté, le Français Nicolas Bernier décrit l’inspiration poétique et la liberté virtuelle que procure la café, passeport vers les mondes parallèles de la création artistique, «boisson supérieure encore au vin !»
Jérôme Correas invite Ambra Senatore et ses danseurs à rejoindre sur scène les chanteurs et les musiciens des Paladins. Ensemble, ils font revivre ces œuvres en les illustrant avec l’humour et l’ironie qui les caractérisent. L’arôme du café réunira dans ses volutes sensuels le langage de la musique et des corps. Jérôme Correas et Ambra Senatore cherchent à imaginer une forme de spectacle complet qui, comme l’opéra mais sans ses contraintes, parle à tous les sens du spectateur. Leur rencontre crée l’occasion de réfléchir ensemble sur les différents sujets que le récit autour du café peut amener : des plus ludiques aux plus sérieux et aussi problématiques.
Affirmation de la liberté des femmes, source d’inspiration créatrice, lieu de convivialité et de solidarité (le Café Suspendu à Naples que l’on paye pour un prochain client désargenté), le café sera prétexte à des moments de jeu, de réflexion, d’observation de l’humain. Avec des espaces d’improvisation et d’autres moments plus écrits, la danse sera traversée par des états d’âme, teintée de gestes du quotidien, et entrera en résonance avec les musiques de Bach et Bernier.
Serré ou allongé, au lait ou sans sucre, le café fait partie de notre quotidien depuis le début du XVIIIe siècle. Boisson à la mode dans toute l’Europe, d’abord associé au voyage et à l’exotisme, le café devient vite symbole de liberté et d’émancipation des femmes, par le plaisir qu’il procure, et la faculté qu’il donne de résister au sommeil.
Rares sont les compositeurs tentés d’illustrer en musique le voyage sensoriel que procure le café, car le sujet semble bien frivole.
Jean-Sébastien Bach, peu réputé pour son humour, en fait pourtant le personnage principal d’une cantate comique dans laquelle la jeune Lisette résiste au pouvoir paternel et trouve le courage, grâce à sa boisson favorite dont elle est totalement dépendante, de trouver sa liberté, comme si la condition des femmes était liée à cette boisson magique qui rend libre…
De son côté, le Français Nicolas Bernier décrit l’inspiration poétique et la liberté virtuelle que procure la café, passeport vers les mondes parallèles de la création artistique, «boisson supérieure encore au vin !»
Jérôme Correas invite Ambra Senatore et ses danseurs à rejoindre sur scène les chanteurs et les musiciens des Paladins. Ensemble, ils font revivre ces œuvres en les illustrant avec l’humour et l’ironie qui les caractérisent. L’arôme du café réunira dans ses volutes sensuels le langage de la musique et des corps. Jérôme Correas et Ambra Senatore cherchent à imaginer une forme de spectacle complet qui, comme l’opéra mais sans ses contraintes, parle à tous les sens du spectateur. Leur rencontre crée l’occasion de réfléchir ensemble sur les différents sujets que le récit autour du café peut amener : des plus ludiques aux plus sérieux et aussi problématiques.
Affirmation de la liberté des femmes, source d’inspiration créatrice, lieu de convivialité et de solidarité (le Café Suspendu à Naples que l’on paye pour un prochain client désargenté), le café sera prétexte à des moments de jeu, de réflexion, d’observation de l’humain. Avec des espaces d’improvisation et d’autres moments plus écrits, la danse sera traversée par des états d’âme, teintée de gestes du quotidien, et entrera en résonance avec les musiques de Bach et Bernier.