Agenda
Carmen
Futurs concerts
Distribution :
Carmen Antoinette Dennefeld
Micaëla Adriana González
Frasquita Judith Fa
Mercédès Séraphine Cotrez
Don José Edgaras Montvidas
Escamillo Philippe Sly
Zuniga Olivier Gourdy
Moralès Rémi Ortega
Le Dancaïre Loïc Félix
Remendado Raphaël Brémard
Lilas Pastia Yani Skouta
Orchestre de Chambre de Lausanne dirigé par Jean-Marie Zeitouni
Chœur de l’Opéra de Lausanne dirigé par Alessandro Zuppardo
Les Chœurs de l'Ecole de Musique Lausanne dirigé par Catherine Fender
Mise en scène Jean-François Sivadier
Décors Alexandre de Dardel
Costumes Virginie Gervaise
Lumières Philippe Berthomé
Collaboration aux mouvements Joanne Saunier
Maquillages Cécile Kretschmar
Micaëla Adriana González
Frasquita Judith Fa
Mercédès Séraphine Cotrez
Don José Edgaras Montvidas
Escamillo Philippe Sly
Zuniga Olivier Gourdy
Moralès Rémi Ortega
Le Dancaïre Loïc Félix
Remendado Raphaël Brémard
Lilas Pastia Yani Skouta
Orchestre de Chambre de Lausanne dirigé par Jean-Marie Zeitouni
Chœur de l’Opéra de Lausanne dirigé par Alessandro Zuppardo
Les Chœurs de l'Ecole de Musique Lausanne dirigé par Catherine Fender
Mise en scène Jean-François Sivadier
Décors Alexandre de Dardel
Costumes Virginie Gervaise
Lumières Philippe Berthomé
Collaboration aux mouvements Joanne Saunier
Maquillages Cécile Kretschmar
Programme :
La fleur qu’elle nous a jetée…
Universel et capiteux, Carmen est l’un des opéras les plus joués au monde. À l’instar de son héroïne à l’œil noir, il est rebelle et sensuel, à la fois plein d’éclat et de noirceur, entre scènes intimes et chœurs triomphants. Georges Bizet séduit autant qu’il innove. Son coup de génie fascine ; au-delà de la partition, c’est aussi sous sa plume que naissent les vers les plus impérissables du livret, d’après la nouvelle de Prosper Mérimée. Tout sert le drame. Avec une expressivité insolente, le rythme envoûte ; l’orchestration et ses accents hispanisants dépaysent. Sur les remparts de Séville, l’inoubliable bohémienne lance aux hommes une fleur, une habanera et une séguedille provocantes, comme autant de sorts. Sa liberté, la femme fatale la revendique. Comme elle l’a pressenti, elle disparaît dans un dernier duo « d’amort », dont Nietzsche dira : « Je ne connais aucun cas où l’esprit tragique, qui est l’essence de l’amour, revêt une forme aussi terrible que dans le cri de Don José : c’est moi qui l’ai tuée ». L’opéra est créé le 3 mars 1875 et Bizet meurt trois mois plus tard jour pour jour, au soir de la trente-troisième représentation.
Pour leurs débuts à l’Opéra de Lausanne, Jean-François Sivadier transforme la scène en formidable machine à jouer pour les artistes et avec l’imagination du public, et Jean-Marie Zeitouni, spécialiste de la musique française du XIXe siècle, dirige ce drame ardent. Cette production qui fait la part belle à la direction d’acteurs est l’occasion de revoir le chef-d’œuvre de Bizet, absent depuis 20 ans de notre scène.
Universel et capiteux, Carmen est l’un des opéras les plus joués au monde. À l’instar de son héroïne à l’œil noir, il est rebelle et sensuel, à la fois plein d’éclat et de noirceur, entre scènes intimes et chœurs triomphants. Georges Bizet séduit autant qu’il innove. Son coup de génie fascine ; au-delà de la partition, c’est aussi sous sa plume que naissent les vers les plus impérissables du livret, d’après la nouvelle de Prosper Mérimée. Tout sert le drame. Avec une expressivité insolente, le rythme envoûte ; l’orchestration et ses accents hispanisants dépaysent. Sur les remparts de Séville, l’inoubliable bohémienne lance aux hommes une fleur, une habanera et une séguedille provocantes, comme autant de sorts. Sa liberté, la femme fatale la revendique. Comme elle l’a pressenti, elle disparaît dans un dernier duo « d’amort », dont Nietzsche dira : « Je ne connais aucun cas où l’esprit tragique, qui est l’essence de l’amour, revêt une forme aussi terrible que dans le cri de Don José : c’est moi qui l’ai tuée ». L’opéra est créé le 3 mars 1875 et Bizet meurt trois mois plus tard jour pour jour, au soir de la trente-troisième représentation.
Pour leurs débuts à l’Opéra de Lausanne, Jean-François Sivadier transforme la scène en formidable machine à jouer pour les artistes et avec l’imagination du public, et Jean-Marie Zeitouni, spécialiste de la musique française du XIXe siècle, dirige ce drame ardent. Cette production qui fait la part belle à la direction d’acteurs est l’occasion de revoir le chef-d’œuvre de Bizet, absent depuis 20 ans de notre scène.
Infos complémentaires :
Opéra comique en quatre actes
Livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy
Production de l'Opéra de Lille et du Théâtre de Caen
Dernières représentations à l'Opéra de Lausanne durant la saison 2007-2008
Chanté en français (surtitres en français et en anglais)
Durée approximative 3h20 (entracte compris)
Livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy
Production de l'Opéra de Lille et du Théâtre de Caen
Dernières représentations à l'Opéra de Lausanne durant la saison 2007-2008
Chanté en français (surtitres en français et en anglais)
Durée approximative 3h20 (entracte compris)