Agenda
Concert à la bougie - Partita
Concerts passés
Distribution :
Guillaume Cuiller, Vincent Blanchard – hautbois
François Gillardot, Roberta Cristini – clarinettes
Pierre-Yves Madeuf, Emmanuel Padieu – cors
Nicolas André, Amélie Boulas - bassons
François Gillardot, Roberta Cristini – clarinettes
Pierre-Yves Madeuf, Emmanuel Padieu – cors
Nicolas André, Amélie Boulas - bassons
Programme :
Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) - Gran Partita (arrangement d’époque pour octuor à vent)
Guillaume Connesson (1970-) - Le Tombeau des seventies, partita pour octuor à vent
Franz Krommer (1759-1831) - Partita Opus 57
Guillaume Connesson (1970-) - Le Tombeau des seventies, partita pour octuor à vent
Franz Krommer (1759-1831) - Partita Opus 57
Infos complémentaires :
D'un côté, il y a la Gran Partita de Mozart (arrangement d'époque pour octuor à vent) ou encore les géniales partitas de Franz Krommer, qui prennent tout leur sens sur les instruments d'époque. De l’autre, il y a la musique de Guillaume Connesson, compositeur d'aujourd'hui connu dans le monde entier, et dont la musique joyeuse et enlevée n'est pas sans rappeler le caractère du répertoire pour vents au 18ème siècle.
Au centre, il y a nos instruments. On sait que la composition musicale est indissociable de la lutherie : les deux domaines évoluent parallèlement, s’influençant mutuellement au fil des époques. Les instruments du 18ème siècle, aux timbres si riches et colorés, correspondent parfaitement à la musique de Mozart et ses contemporains.
Écrire aujourd'hui pour les instruments d'hier, c’est ce qui a suscité la curiosité et la créativité de Guillaume Connesson, auprès de qui nous avons passé commande. Avec les spécificités des instruments anciens, il compose ici sa propre partita : on y retrouve toute la virtuosité, l’humour, la jubilation des timbres et du rythme qui caractérisent son style d'écriture, offrant un contrepoint idéal à l’esprit de divertissement qui anime la musique pour vents du 18ème siècle.
Dans le cadre du dispositif Voisinage
Au centre, il y a nos instruments. On sait que la composition musicale est indissociable de la lutherie : les deux domaines évoluent parallèlement, s’influençant mutuellement au fil des époques. Les instruments du 18ème siècle, aux timbres si riches et colorés, correspondent parfaitement à la musique de Mozart et ses contemporains.
Écrire aujourd'hui pour les instruments d'hier, c’est ce qui a suscité la curiosité et la créativité de Guillaume Connesson, auprès de qui nous avons passé commande. Avec les spécificités des instruments anciens, il compose ici sa propre partita : on y retrouve toute la virtuosité, l’humour, la jubilation des timbres et du rythme qui caractérisent son style d'écriture, offrant un contrepoint idéal à l’esprit de divertissement qui anime la musique pour vents du 18ème siècle.
Dans le cadre du dispositif Voisinage