Agenda
Giuditta - Franz Lehár
Futurs concerts
Distribution :
Direction musicale : Thomas Rösner
Mise en scène, décors, costumes : Pierre-André Weitz
Chorégraphie : Ivo Bauchiero
Lumières : Bertrand Killy
Chef de Chœur de l’Opéra national du Rhin : Hendrik Haas
Les Artistes
Giuditta : Melody Louledjian
Anita : Sandrine Buendia
Octavio : Thomas Bettinger
Manuel, Sir Barrymore, son Altesse : Nicolas Rivenq
Séraphin : Sahy Ratia
Marcelin, l’Attaché, Ibrahim, un chanteur de rue : Christophe Gay
Jean Cévenol : Jacques Verzier
L’Hôtelier, le Maître d’hôtel : Rodolphe Briand
Lollita, le Chasseur de l’Alcazar : Sissi Duparc
Le Garçon de restaurant, un chanteur de rue, un sous-officier, un pêcheur, Ali : Pierre Lebon
Chœur de l’Opéra national du Rhin, Orchestre symphonique de Mulhouse
Mise en scène, décors, costumes : Pierre-André Weitz
Chorégraphie : Ivo Bauchiero
Lumières : Bertrand Killy
Chef de Chœur de l’Opéra national du Rhin : Hendrik Haas
Les Artistes
Giuditta : Melody Louledjian
Anita : Sandrine Buendia
Octavio : Thomas Bettinger
Manuel, Sir Barrymore, son Altesse : Nicolas Rivenq
Séraphin : Sahy Ratia
Marcelin, l’Attaché, Ibrahim, un chanteur de rue : Christophe Gay
Jean Cévenol : Jacques Verzier
L’Hôtelier, le Maître d’hôtel : Rodolphe Briand
Lollita, le Chasseur de l’Alcazar : Sissi Duparc
Le Garçon de restaurant, un chanteur de rue, un sous-officier, un pêcheur, Ali : Pierre Lebon
Chœur de l’Opéra national du Rhin, Orchestre symphonique de Mulhouse
Programme :
Comédie en musique en cinq tableaux.
Livret de Paul Knepler et Fritz Löhner.
Créée à l’Opéra de Vienne le 20 janvier 1934.
Version française d’André Mauprey.
Nouvelle production.
Coproduction avec l’Opéra de Lausanne.
Dans le cadre du festival Arsmondo Méditerranée.
« Et si la mort m’enlève,
Je veux qu’elle m’achève
Dans un baiser de flamme
Où chantera le mot : aimer ! »
Quand Giuditta se met à chanter l’amour au cabaret Alcazar, le temps suspend son vol. Elle a tout d’un oiseau de paradis ou d’un ange tombé du ciel. Plusieurs hommes ont tenté de l’enfermer dans une cage dorée et de l’attraper avec des rivières de diamants en guise de collets. Sans succès : la belle est aussi jalouse de sa liberté que de ses secrets. Personne ne connaît vraiment son histoire, ni l’oiseleur qui l’a découverte un jour sur une plage et l’a épousée sans lui poser de question, ni même ce beau légionnaire avec lequel elle s’est enfuie en Afrique du Nord.
Qualifiée de « musikalische Komödie » par son auteur, la dernière œuvre de Lehár se rapproche bien plus des grands opéras de Puccini que des comédies musicales américaines, comme en témoigne sa création en grande pompe au Staatsoper de Vienne en 1934. Si Giuditta n’est pas sans rappeler certaines héroïnes lyriques (Carmen, Violetta, Mélisande) et quelques célèbres courtisanes bien réelles (notamment la « Belle Otero », danseuse espagnole devenue l’amante des souverains européens), elle doit beaucoup à Marlène Dietrich et à ses rôles iconiques de meneuse de revue dans les films L’Ange bleu et Morocco. À la tête de l’Orchestre symphonique de Mulhouse, Thomas Rösner dirige la version française de cette envoûtante rareté, dans un spectacle flamboyant de Pierre-André Weitz inspiré par les univers du cirque et du cabaret.
Livret de Paul Knepler et Fritz Löhner.
Créée à l’Opéra de Vienne le 20 janvier 1934.
Version française d’André Mauprey.
Nouvelle production.
Coproduction avec l’Opéra de Lausanne.
Dans le cadre du festival Arsmondo Méditerranée.
« Et si la mort m’enlève,
Je veux qu’elle m’achève
Dans un baiser de flamme
Où chantera le mot : aimer ! »
Quand Giuditta se met à chanter l’amour au cabaret Alcazar, le temps suspend son vol. Elle a tout d’un oiseau de paradis ou d’un ange tombé du ciel. Plusieurs hommes ont tenté de l’enfermer dans une cage dorée et de l’attraper avec des rivières de diamants en guise de collets. Sans succès : la belle est aussi jalouse de sa liberté que de ses secrets. Personne ne connaît vraiment son histoire, ni l’oiseleur qui l’a découverte un jour sur une plage et l’a épousée sans lui poser de question, ni même ce beau légionnaire avec lequel elle s’est enfuie en Afrique du Nord.
Qualifiée de « musikalische Komödie » par son auteur, la dernière œuvre de Lehár se rapproche bien plus des grands opéras de Puccini que des comédies musicales américaines, comme en témoigne sa création en grande pompe au Staatsoper de Vienne en 1934. Si Giuditta n’est pas sans rappeler certaines héroïnes lyriques (Carmen, Violetta, Mélisande) et quelques célèbres courtisanes bien réelles (notamment la « Belle Otero », danseuse espagnole devenue l’amante des souverains européens), elle doit beaucoup à Marlène Dietrich et à ses rôles iconiques de meneuse de revue dans les films L’Ange bleu et Morocco. À la tête de l’Orchestre symphonique de Mulhouse, Thomas Rösner dirige la version française de cette envoûtante rareté, dans un spectacle flamboyant de Pierre-André Weitz inspiré par les univers du cirque et du cabaret.
Infos complémentaires :
En français
Surtitré en français, allemand
Tarifs : 6 - 98 €
Durée : 2h45
À partir de 10 ans
Crédit : Sarah Martinon
Surtitré en français, allemand
Tarifs : 6 - 98 €
Durée : 2h45
À partir de 10 ans
Crédit : Sarah Martinon