Agenda
NUIT BEETHOVEN - Festival de Saint-Céré
Futurs concerts
Distribution :
Quatuor Fidelio
Violon : Verena Chen
Violon : Camille Fonteneau
Alto : Léa Hennino
Violoncelle : Maria Andrea Mendoza
Et ses invité·es
Piano : Nathanaël Gouin
Contrebasse : Lorraine Campet
Lorraine Campet, Révélation soliste instrumental aux Victoires de la Musique 2025.
Violon : Verena Chen
Violon : Camille Fonteneau
Alto : Léa Hennino
Violoncelle : Maria Andrea Mendoza
Et ses invité·es
Piano : Nathanaël Gouin
Contrebasse : Lorraine Campet
Lorraine Campet, Révélation soliste instrumental aux Victoires de la Musique 2025.
Programme :
Beethoven
Extraits des Bagatelles pour piano solo, op. 126
Quatuor à cordes n° 11, op. 95, dite “Quartetto serioso”
Concerto pour piano n° 3 – version de chambre avec quintette à cordes
Extraits des Bagatelles pour piano solo, op. 126
Quatuor à cordes n° 11, op. 95, dite “Quartetto serioso”
Concerto pour piano n° 3 – version de chambre avec quintette à cordes
Infos complémentaires :
Musique de chambre
Durée : 1h15 / Tarif 8 à 28 €
Un Concerto qui figure au rang des plus belles pages du romantisme, marqué par l’irruption d’un style très personnel et d’une pensée foisonnante ! Tour à tour héroïque, lyrique ou poignante, la partition dévoile aussi, dans son dernier mouvement, le ton primesautier que Beethoven peut emprunter. Cette ambivalence est au cœur de la complexité beethovénienne et donne tout son prix à cette musique. Joué dans une version de chambre, le Concerto n° 3 est précédé par un quatuor presque prophétique, dont l’originalité étonnante inaugure la nouvelle rhétorique musicale des quatuors de la dernière période, et de pages choisies au sein des incontournables Bagatelles.
Une soirée 100 % Beethoven, explorant toute la richesse de l'univers du compositeur !
Camille Fonteneau © Iseult Vertie
Durée : 1h15 / Tarif 8 à 28 €
Un Concerto qui figure au rang des plus belles pages du romantisme, marqué par l’irruption d’un style très personnel et d’une pensée foisonnante ! Tour à tour héroïque, lyrique ou poignante, la partition dévoile aussi, dans son dernier mouvement, le ton primesautier que Beethoven peut emprunter. Cette ambivalence est au cœur de la complexité beethovénienne et donne tout son prix à cette musique. Joué dans une version de chambre, le Concerto n° 3 est précédé par un quatuor presque prophétique, dont l’originalité étonnante inaugure la nouvelle rhétorique musicale des quatuors de la dernière période, et de pages choisies au sein des incontournables Bagatelles.
Une soirée 100 % Beethoven, explorant toute la richesse de l'univers du compositeur !
Camille Fonteneau © Iseult Vertie