Agenda

La nuit en tête

Futurs concerts
Distribution : 
Soprano Raphaële Kennedy
Clavecin Yannick Varlet
Piano Julien Le Pape
Flûte Anne-Cécile Cuniot
Clarinette Etienne Lamaison
Violon Noëmi Schindler
Alto Marion Plard
Violoncelle Florian Lauridon
Percussions Gianny Pizzolato
Création lumières Christophe Schaeffer
Régie générale Marie Delebarre
Direction Laurent Cuniot
Programme : 
Claude Le jeune (1528-1600) : Qu’est devenu ce bel oeil? Voix et clavecin (2′)
Yannick Varlet : Improvisation clavecin (1’30)
Hans Abrahamsen (né en 1952) : Two Inger Christensen Songs pour voix et flûte, clarinette, celesta, percussions, violon, alto, violoncelle (17’30)
Michelangelo Rossi (1602-1656) : Toccata settima (4’30)
Henry Purcell (1659-1695) : See, even night herself is here pour voix, flûte, violon et alto (4’30)
György Ligeti (1923-2006) : Passacaglia ungherese pour clavecin (4’30)
Tarquinio Merula (1595-1665) : Canzonetta spirituale sopra alla nanna pour voix, clavecin et violoncelle (8′)
Yannick Varlet : Improvisation clavecin (1’30)
Georges Aperghis (né en 1945) : La nuit en tête pour voix, flûte, clarinette, piano, percussions, violon, violoncelle (14′)
Anonyme (XVII° siècle) : J’avois crû qu’en vous aymant pour voix, clavecin et flûte (5′)
Infos complémentaires : 
Voyage de l'écoute avec la soprano Raphaële Kennedy

Dans ce nouveau Voyage de l’écoute, TM+ entrelace des œuvres de musiques anciennes et contemporaines autour du thème de la nuit. Comme une plongée nocturne en forme d’échos poétiques. Ainsi aux Two Inger Christensen Songs de Hans Abrahamsen (né en 1952) qui suspendent le temps pour ramener au cœur des émotions enfantines nées du chant de la mère, répond la célèbre berceuse de Tarquinio Merula (1595-1665) aussi entêtante que bouleversante.   La nuit en tête de Georges Aperghis (né en 1945) fait résonner le doux tumulte intérieur, obsessionnel d’une femme aux prises avec ses pensées, comme en miroir de la douceur étrange de See, even night herself is here, cet air célèbre d’Henry Purcell (1659-1695) extrait de son opéra The fairy Queen. D’autres musiques de Claude Lejeune, d’un Anonyme du XVII° siècle,…s’inscrivent dans ce tissage du passé et du présent où les siècles s’estompent pour mieux révéler à l’auditeur la singularité, l’intensité expressive intemporelle de chacune des œuvres de ce programme inédit.