Videos
-
Chantez tendrement ma Muzette est extrait du recueil Airs sérieux et à boire (1716) de la mystérieuse compositrice Mademoiselle B...
Avec Marie Perbost (soprano), Anna Reinhold (mezzo-soprano) et Thibault de Damas (baryton-basse).
Rediffusion du concert donné par l'Ensemble Il Caravaggio dirigé par Camille Delaforge au Festival de Sablé le 29 août 2020.
Captation réalisée avec le soutien de la Caisse des Dépôts.Voir les autres extraits du concert
Plus d'infos sur Il Caravaggio
Festival de Sablé
Le projet RestonsConnectésAuClassique01 Mars 2021 -
L'Orchestre des Pays de Savoie, sous la direction de Nicolas Chalvin, accompagné de la violoniste Geneviève Laurenceau interprète un extrait des Quatre Saisons de Vivaldi.
Vidéo réalisée dans la cadre du projet du Calendrier musical de l'Avent.
> Voir toutes les vidéos02 Décembre 2020 -
Cap sur l’Angleterre de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle avec le programme « O Solitude » présenté par Le Consort en clôture du Festival de Royaumont 2020. Comme son intitulé le laisse supposer, il fait largement honneur à Henry Purcell (1659-1695), avec diverses pages vocales, confiées au contre-ténor Paul-Antoine Bénos-Djian, mais aussi un ground pour clavecin et la Sonata of Four Parts Z 807, placés en introduction. Purcell auquel John Blow rend hommage dans l’émouvante Ode on the Death de Henry Purcell, écrite un an après la disparition prématurée de son ancien élève et ami.
Côté instrumental, le programme du Consort réserve par ailleurs une belle place à Nicola Matteis (1650-1714), violoniste virtuose et compositeur d’origine napolitaine qui mena une très belle carrière à Londres à partir de 1672 et contribua à y développer le goût de la musique italienne.
Programme détaillé : http://bit.ly/Programme-OSolitude
10 Novembre 2020
-
Lea Desandre, nommée "Révélation lyrique" aux Victoires de la Musique Classique en 2017, interprète "Armatae face et anguibus" extrait de l'opéra Juditha triumphans de Vivaldi, accompagnée de l'Ensemble Jupiter : Thomas Dunford au luth, Peter Whelan au basson, le violoncelliste Bruno Philippe, également "Révélation" aux Victoires de la Musique (2018), Jean Rondeau au clavecin et à l'orgue, Cecilia Bernardini et Louis Creac'h (violons), Jérôme Van Waerbeke (alto) et Douglas Balliett (contrebasse).
Plus d'infos sur l'Ensemble Jupiter
Plus d'infos sur Alpha Classics
Sélection Concertclassic, les meilleures vidéos de musique classique
19 Octobre 2020 -
Sommet absolu de l’art polyphonique, les motets de Bach exultent d’une allégresse qui pourrait surprendre lorsqu’on connait leur destination liturgique la plus fréquente : des services funèbres. À l’invitation du Motet BWV 225, Raphaël Pichon et son équipe nous entraînent dans cette interprétation jubilatoire, véritable hymne à la danse habilement mis en regard de la grande tradition du motet allemand. Le travail collectif effectué par Pygmalion tant sur le plan du style que celui du texte, rend pleinement justice à cette exubérance chorale.
Plus d'infos sur l'Ensemble Pygmalion
Plus d'infos sur Harmonia Mundi
Sélection Concertclassic, les meilleures vidéos de musique classique
19 Octobre 2020 -
Commandé par Mazarin au lendemain de la Fronde pour asseoir le pouvoir du jeune Louis XIV, Le Ballet Royal de la Nuit a consacré ce dernier en Roi Soleil. Sébastien Daucé a reconstitué au gré de quatre années de travail et de recherche la partition de ce spectacle hors-normes qui ne fut jamais rejoué après sa création en 1653.12 Octobre 2020
-
« Un concert merveilleux » commenta un contemporain d’Aliotti en découvrant Il trionfo della morte per il peccato d’Adamo (1677)de Bonaventura Aliotti (vers 1640-vers 1690). On le conçoit sans mal en écoutant le lamento d’Eve « Discioglietevi, dileguatevi » (Dissolvez-vous, libérez-vous), morceau d’une rare prégnance ici chanté par Capucine Keller, par lequel Adam n’écoutant plus la voix de la Raison cèdera aux charmes d’Eve ...
On aurait dû retrouver Les Traversée baroques en juin au Festival du Haut-Jura, annulé comme tant d’autres. Ce n’est que partie remise, l’ensemble sera présent dans un programmation surprise du Haut-Jura les 19 et 20 septembre prochains, avec entre autres des pages du Polonais Kaspar Förster. Quant au Trionfo d’Aliotti, il est programmé le 25 octobre en clôture du Festival de Lanvellec.
26 Mai 2020 -
L’ensemble Les Traversées baroques fait partie des formations à l’affiche du Festival Résidence / Artistes en Résistance à l’Opéra de Dijon où il donnera (via le streaming) trois concerts les 8, 9 et 10 juin. Fondées en 2008 par Judith Pacquier (dir. artistique) et Etienne Meyer (dir. musicale), Les Traversées baroques aiment à explorer des répertoires méconnus, comme le prouve un très bel enregistrement sorti début avril (2CD Accent) de l’oratorio Il trionfo della morte per il peccato d’Adamo de Bonaventura Aliotti (vers 1640-vers 1690), un frère franciscain mineur originaire de Palerme. Créé en 1677 à Ferrare, son Trionfo offre une musique très expressive portée par un orchestre d’une ampleur et d’une richesse peu communes. Une dimension perceptible dès la Sinfonia introductive, que l’on découvre ici.
Plus d’infos sur Les Traversées baroques
26 Mai 2020 -
Ancienne élève de Roland Pidoux au CNSM de Paris et de Gary Hoffman à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, lauréate de la Fondation d’Entreprise Banque Populaire, Julie Sévilla-Fraysse interprète l’Allemande de la Suite n° 1 BWV 1007 de Bach.
S’agissant du répertoire pour violoncelle seul, rappelons que l’interprète a signé une version pleine de caractère de l’immense Sonate op. 8 de Zoltán Kodály, à découvrir au sein d’un programme intitulé «Folklore » (Klarthe), où elle interprète par ailleurs des pages de Dvorak, Popper et le rare et magnifique Pohádka de Janáček avec la complicité d’Antoine de Grolée au piano.
Musique en confinement10 Mai 2020
-
Robin Pharo (viole de gambe), interprète De Machy : Prélude en sol mineur pour viole de gambe seule et Sainte-Colombe : Les Pleurs (arrgt R. Pharo)
Voyage dans le XVIIe siècle français avec Robin Pharo, qui enchaîne le Prélude en sol mineur du Sieur De Machy, tiré d’un recueil de Pièces de Violle édité à Paris en 1685 et Les Pleurs de Monsieur de Sainte-Colombe le Père. Cette dernière page provient du Tombeau des regrets, ouvrage appartenant aux Concerts à deux violes égales (Concert XLIV) ; on la découvre ici dans l’arrangement pour viole seule de Robin Pharo.
Parmi les réalisations discographiques du gambiste, rappelons un très bel album Charles Dollé (« L’Anonyme parisien », Paraty, Disque de la Semaine de Concertclassic), mais aussi un programme elisabéthain bâti autour de la figure du méconnu Robert Jones avec l’ensemble Près de votre oreille :
Musique en confinement
15 Avril 2020 -
Le séjour de Bach à la cour de Köthen (de la fin 1717 à avril 1723) fait figure d’âge d’or pour la musique instrumentale. C’est selon toute vraisemblance vers 1722 qu’il écrivit son unique ouvrage pour flûte solo : la Partita en la mineur.
Transcripteur très actif, d’auteurs italiens en particulier, Bach aura ensuite été beaucoup arrangé, pour piano en particulier, au XIXe et au début du XXe siècle (par Liszt et Busoni entre autres). Plus près de nous, Gustav Leonhardt n’a pas résisté au plaisir d’adapter pour le clavecin la fluide Allemande introductive du BWV 1013, qu’Olivier Fortin nous offre de son confinement bourguignon.Parmi les derniers enregistrements d’Olivier Fortin (chez Alpha Classics), rappelons une belle anthologie François Couperin et un original et dépaysant programme Routes du café, avec les voix de Hana Blazikova, Reinoud Van Mechelen, Lisandro Abadie et l’ensemble Masques. Toujours au côté de celui-ci, l'interprète a récemment signé un programme de concertos à deux clavecins de Bach (BWV 1060, 1061 et 1062) et Pergolesi avec la complicité de son collègue Emmanuel Frankenberg.
Plus d’infos sur Olivier Fortin et l’Ensemble Masques
Musique en confinement
12 Avril 2020 -
Jean-Sébastien Bach (1685-1750) mourut en laissant inachevé son Art de la Fugue, partition mystérieuse – et œuvre ouverte que l’auteur ne destine expressément à aucun instrument ou formation – et c’est l’un de ses plus géniaux fils musiciens, Carl Philipp Emanuel, qui se chargea de la première édition en 1751.
Kenneth Weiss interprète le Contrepoint 1, duquel procède la totalité du BWV 1080. « La grandeur est la plan naturel de Bach, sa dimension ordinaire », écrivait André Suarès ...
Plus d’infos sur Kenneth Weiss
Musique en confinement
08 Avril 2020