Videos

  • Lea Desandre, nommée "Révélation lyrique" aux Victoires de la Musique Classique en 2017, interprète "Armatae face et anguibus" extrait de l'opéra Juditha triumphans de Vivaldi, accompagnée de l'Ensemble Jupiter : Thomas Dunford au luth, Peter Whelan au basson, le violoncelliste Bruno Philippe, également "Révélation" aux Victoires de la Musique (2018), Jean Rondeau au clavecin et à l'orgue, Cecilia Bernardini et Louis Creac'h (violons), Jérôme Van Waerbeke (alto) et Douglas Balliett (contrebasse).

    Plus d'infos sur l'Ensemble Jupiter
    Plus d'infos sur Alpha Classics
     

    Sélection Concertclassic, les meilleures vidéos de musique classique

    19 Octobre 2020
  • Sommet absolu de l’art polyphonique, les motets de Bach exultent d’une allégresse qui pourrait surprendre lorsqu’on connait leur destination liturgique la plus fréquente : des services funèbres. À l’invitation du Motet BWV 225, Raphaël Pichon et son équipe nous entraînent dans cette interprétation jubilatoire, véritable hymne à la danse habilement mis en regard de la grande tradition du motet allemand. Le travail collectif effectué par Pygmalion tant sur le plan du style que celui du texte, rend pleinement justice à cette exubérance chorale.

    Plus d'infos sur l'Ensemble Pygmalion
    Plus d'infos sur Harmonia Mundi
     

    Sélection Concertclassic, les meilleures vidéos de musique classique

     

    19 Octobre 2020
  • Deux journées de concerts gratuits ouvriront les festivités, suivis de près de 40 concerts à Besançon dans une dizaine de lieux de concerts, et en région à Belfort, Lons-le-Saunier et Dole.
    Rendez-vous du 11 au 20 septembre 2020 !

    Plus d'infos
     

    07 Septembre 2020
  • Clelia Cafiero, que l’on connaît désormais comme assistante de Lawrence Foster à l’Opéra de Marseille, est pianiste de formation et s’est montrée très active en ce domaine avant de prendre la baguette. Membre de l’Orchestre de la Scala de Milan à partir de 2013, c’est là que sa vocation pour la direction s’est affirmée. Reste que l’artiste napolitaine n’a aucunement délaissé le clavier. En janvier dernier, on a par exemple pu l’entendre à la fois soliste et cheffe du Philharmonique de Marseille dans le Concerto en sol de Ravel. Le 12 juin, entourée de solistes de l’Opéra phocéen (Da-Min Kim, Alexandre Amedro, Magalie Demesse, Xavier Chatillon, Jean-René Da Conceicao) elle interprétait le Concerto n° 2 en fa mineur de Chopin dans le Foyer de l’Opéra de Marseille. 

    30 Juin 2020
  • « Un concert merveilleux » commenta un contemporain d’Aliotti en découvrant Il trionfo della morte per il peccato d’Adamo (1677)de Bonaventura Aliotti (vers 1640-vers 1690). On le conçoit sans mal en écoutant le lamento d’Eve « Discioglietevi, dileguatevi » (Dissolvez-vous, libérez-vous), morceau d’une rare prégnance ici chanté par Capucine Keller, par lequel Adam n’écoutant plus la voix de la Raison cèdera aux charmes d’Eve ...

    On aurait dû retrouver Les Traversée baroques en juin au Festival du Haut-Jura, annulé comme tant d’autres. Ce n’est que partie remise, l’ensemble sera présent dans un programmation surprise du Haut-Jura les 19 et 20 septembre prochains, avec entre autres des pages du Polonais Kaspar Förster. Quant au Trionfo d’Aliotti, il est programmé le 25 octobre en clôture du Festival de Lanvellec.

    Plus d’infos sur Les Traversées baroques

    26 Mai 2020
  • L’ensemble Les Traversées baroques fait partie des formations à l’affiche du Festival Résidence / Artistes en Résistance à l’Opéra de Dijon où il donnera (via le streaming) trois concerts les 8, 9 et 10 juin. Fondées en 2008 par Judith Pacquier (dir. artistique) et Etienne Meyer (dir. musicale), Les Traversées baroques aiment à explorer des répertoires méconnus, comme le prouve un très bel enregistrement sorti début avril (2CD Accent) de l’oratorio Il trionfo della morte per il peccato d’Adamo de Bonaventura Aliotti (vers 1640-vers 1690), un frère franciscain mineur originaire de Palerme. Créé en 1677 à Ferrare, son Trionfo offre une musique très expressive portée par un orchestre d’une ampleur et d’une richesse peu communes. Une dimension perceptible dès la Sinfonia introductive, que l’on découvre ici.

    Plus d’infos sur Les Traversées baroques

     

    26 Mai 2020
  • La Tarentella conclusive du triptyque Venezia et Napoli de Liszt (supplément à la 2ème Année de Pèlerinage) refermait de solaire façon le récital de demi-finale de Denis Kozhukhin (né en 1986), le 15 mai 2010. Le 29 mai, le candidat russe remporta le 1er Prix avec le Concerto n° 2 de Serge Prokofiev.

    Plus d’infos sur Denis Kozhukhin
     
    Ces images ont été produites et sont la propriété de la RTBF et VRT, partenaires médias du Concours Reine Elisabeth :
    https://www.rtbf.be/culture/musique/concours-reine-elisabeth
    https://www.vrt.be/vrtnu/a-z/koningin-elisabethwedstrijd/

    12 Mai 2020
  • Musique en confinement mais à l’air libre pourtant pour Camille Thomas, comme on peut le constater avec cette vidéo haut-perchée. La violoncelliste a choisi la Danse des Esprits bienheureux de Gluck, page fameuse tirée de l’acte II d’Orphée et Eurydice, une pièce qui figure au programme du disque « Voice of Hope », enregistré avec le Brussels Philharmonic (dir. Stéphane Denève) pour DG. Sous le même label, l’interprète a précédemment signé une tonique et lumineuse version du Concerto pour violoncelle n°1 de Saint-Saëns avec l’Orchestre National de Lille mené par Alexandre Bloch.

    Julien Brocal donne ici la réplique à Camille Thomas. Ancien élève de Maria João Pires, le pianiste, après un disque Chopin (Rubicon) couronné d’un « BBC Music Magazine Award » en 2018, a livré un séduisant programme Ravel/Mompou (Rubicon).

    Plus d’infos sur Camille Thomas

    Plus d’infos sur Julien Brocal

     

    05 Mai 2020
  • Confiné ? Sans doute, mais Adrien La Marca se met en quatre pour interpréter Oblivion, une musique écrite en 1984 par le compositeur argentin pour « Henri IV, le roi fou », film de Marco Bellocchio.

    Reste que l’actualité discographique se situe du côté de la musique anglaise pour l’altiste. Après un admirable récital «English delight », construit autour de la rare Sonate de Rebecca Clarke (1 CD La Dolce Volta / LDV 22), La Marca emporte et illumine un autre chef-d’œuvre méconnu d’outre-Manche, le Concerto pour alto et orchestre (1928, rév. 1961) de William Walton, avec la complicité de l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège conduit par Christian Arming. Une interprétation pleine de souffle et de relief, dont l’intensité narrative n’est que renforcée par la présence sur le même disque du très cinématographique On the Reel, du jeune compositeur belge Gwenaël Mario Grisi, et d’arrangements de Roméo et Juliette de Prokofiev. « Heroes » : un titre on ne peut mieux trouvé pour un disque qui parle singulièrement à l’imagination ! (1CD LDV 75)

    Plus d'infos sur Adrien La Marca

    La Dolce Volta

    Musique en confinement

    24 Avril 2020

Pages