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  • Chantez tendrement ma Muzette est extrait du recueil Airs sérieux et à boire (1716) de la mystérieuse compositrice Mademoiselle B...

    Avec Marie Perbost (soprano), Anna Reinhold (mezzo-soprano) et Thibault de Damas (baryton-basse).
    Rediffusion du concert donné par l'Ensemble Il Caravaggio dirigé par Camille Delaforge au Festival de Sablé le 29 août 2020.
    Captation réalisée avec le soutien de la Caisse des Dépôts.

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    Festival de Sablé
    Le projet RestonsConnectésAuClassique

    01 Mars 2021
  • La musique française réussit tout particulièrement au Quatuor Tchalik. Un an après un concert Reynaldo Hahn (compositeur auquel la formation vient de consacrer un magnifique enregistrement https://bit.ly/3pBRFUe) au Palazzetto Bru Zane, les quatre jeunes musiciens étaient de retour à Venise fin octobre pour un rendez-vous inscrit dans le cadre du Festival « Camille Saint-Saëns, l’homme-orchestre ».  Sous leurs archets inspirés, le Quatuor n° 1 (1899) – opus majeur de la littérature de quatuor au tournant du siècle – montre toute la force d’inspiration qui le sous-tend, tandis que le Quatuor n° 2 (1918), d’humeur nettement plus légère, se déploie avec élégance et esprit.

    18 Novembre 2020
  • Cap sur l’Angleterre de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle avec le programme « O Solitude » présenté par Le Consort en clôture du Festival de Royaumont 2020. Comme son intitulé le laisse supposer, il fait largement honneur à Henry Purcell (1659-1695), avec diverses pages vocales, confiées au contre-ténor Paul-Antoine Bénos-Djian, mais aussi un ground pour clavecin et la Sonata of Four Parts Z 807, placés en introduction. Purcell auquel John Blow rend hommage dans l’émouvante Ode on the Death de Henry Purcell, écrite un an après la disparition prématurée de son ancien élève et ami.

    Côté instrumental, le programme du Consort réserve par ailleurs une belle place à Nicola Matteis (1650-1714), violoniste virtuose et compositeur d’origine napolitaine qui mena une très belle carrière à Londres à partir de 1672 et contribua à y développer le goût de la musique italienne.

    Programme détaillé : http://bit.ly/Programme-OSolitude

    10 Novembre 2020
  • « Un concert merveilleux » commenta un contemporain d’Aliotti en découvrant Il trionfo della morte per il peccato d’Adamo (1677)de Bonaventura Aliotti (vers 1640-vers 1690). On le conçoit sans mal en écoutant le lamento d’Eve « Discioglietevi, dileguatevi » (Dissolvez-vous, libérez-vous), morceau d’une rare prégnance ici chanté par Capucine Keller, par lequel Adam n’écoutant plus la voix de la Raison cèdera aux charmes d’Eve ...

    On aurait dû retrouver Les Traversée baroques en juin au Festival du Haut-Jura, annulé comme tant d’autres. Ce n’est que partie remise, l’ensemble sera présent dans un programmation surprise du Haut-Jura les 19 et 20 septembre prochains, avec entre autres des pages du Polonais Kaspar Förster. Quant au Trionfo d’Aliotti, il est programmé le 25 octobre en clôture du Festival de Lanvellec.

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    26 Mai 2020
  • L’ensemble Les Traversées baroques fait partie des formations à l’affiche du Festival Résidence / Artistes en Résistance à l’Opéra de Dijon où il donnera (via le streaming) trois concerts les 8, 9 et 10 juin. Fondées en 2008 par Judith Pacquier (dir. artistique) et Etienne Meyer (dir. musicale), Les Traversées baroques aiment à explorer des répertoires méconnus, comme le prouve un très bel enregistrement sorti début avril (2CD Accent) de l’oratorio Il trionfo della morte per il peccato d’Adamo de Bonaventura Aliotti (vers 1640-vers 1690), un frère franciscain mineur originaire de Palerme. Créé en 1677 à Ferrare, son Trionfo offre une musique très expressive portée par un orchestre d’une ampleur et d’une richesse peu communes. Une dimension perceptible dès la Sinfonia introductive, que l’on découvre ici.

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    26 Mai 2020
  • Les orchestres français ont scandaleusement négligé l’an dernier le 150e anniversaire de la naissance d’un de nos plus grands symphonistes, Albert Roussel. Il s’est heureusement trouvé quelques rares exceptions, parmi lesquelles l’Orchestre des Jeunes d’Île-de-France qui, sous la baguette David Molard-Soriano, interprétait le Festin de l’araignée, le 25 octobre 2019 au CRR de Paris, au cours d’un concert comprenant en outre l’intégralité de l’Oiseau de feu de Stravinski, dans une interprétation pas moins remarquable de vie et d’engagement (disponible sur la filmothèque de l’OJIF)

    Site de l’Orchestre des Jeunes d’Île-de-France

     

    19 Mai 2020

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