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  • Akhenaton fut l’un des pharaons les plus marquants de l’Égypte ancienne. Il réussit en effet à imposer l’un des premiers monothéismes de l’histoire, faisant de Râ, le dieu soleil, la seule et unique divinité de son royaume.

    Quand le compositeur américain Philip Glass décide de consacrer plusieurs opéras à de grandes figures de l’histoire, Akhenaton s’impose à lui avec évidence. Après Einstein on the Beach (1976) et Satyagraha (1980), Aknathen vient clore avec brio cette trilogie. Utilisant des textes de l’époque, dont un poème d’Akhenaton lui-même, l’ouvrage parcourt son règne aussi brillant qu’original depuis son accession au trône après la mort de son père Aménophis III, jusqu’à sa chute. Akhnaten recèle quelques moments phares de la musique minimaliste, comme la géniale scène du couronnement !

    Nouvelle production

    Distribution
    Direction musicale : Léo Warynski
    Mise en scène et chorégraphie : Lucinda Childs
    Scénographie et costumes : Bruno De Lavenère
    Lumières : David Debrinay
    Vidéo : Étienne Guiol

    Akhnaten : Fabrice Di Falco
    Nefertiti : Julie Robard-Gendre
    Reine Tye : Patrizia Ciofi
    Horemhab : Joan Martín-Royo 
    Amon : Frédéric Diquero
    Aye : Vincent Le Texier
    Amenhotep (rôle parlé) : Lucinda Childs
    Six filles d’Akhnaten : Karine Ohanyan, Rachel Duckett, Mathilde Lemaire Vassiliki Koltouki, Annabella Ellis, Aviva Manenti 

    18 Janvier 2021
  • Extrait de la Flûte enchantée de Mozart, la Reine de la nuit est interprétée par la soprano Diana Damrau.
    Mise en scène David Mc Vicar.
    Production de 2003 du Royal Opera House, Covent Garden (Londres).

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    26 Octobre 2020
  • Lea Desandre, nommée "Révélation lyrique" aux Victoires de la Musique Classique en 2017, interprète "Armatae face et anguibus" extrait de l'opéra Juditha triumphans de Vivaldi, accompagnée de l'Ensemble Jupiter : Thomas Dunford au luth, Peter Whelan au basson, le violoncelliste Bruno Philippe, également "Révélation" aux Victoires de la Musique (2018), Jean Rondeau au clavecin et à l'orgue, Cecilia Bernardini et Louis Creac'h (violons), Jérôme Van Waerbeke (alto) et Douglas Balliett (contrebasse).

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    19 Octobre 2020
  • Clelia Cafiero, que l’on connaît désormais comme assistante de Lawrence Foster à l’Opéra de Marseille, est pianiste de formation et s’est montrée très active en ce domaine avant de prendre la baguette. Membre de l’Orchestre de la Scala de Milan à partir de 2013, c’est là que sa vocation pour la direction s’est affirmée. Reste que l’artiste napolitaine n’a aucunement délaissé le clavier. En janvier dernier, on a par exemple pu l’entendre à la fois soliste et cheffe du Philharmonique de Marseille dans le Concerto en sol de Ravel. Le 12 juin, entourée de solistes de l’Opéra phocéen (Da-Min Kim, Alexandre Amedro, Magalie Demesse, Xavier Chatillon, Jean-René Da Conceicao) elle interprétait le Concerto n° 2 en fa mineur de Chopin dans le Foyer de l’Opéra de Marseille. 

    30 Juin 2020
  • L’ensemble Les Traversées baroques fait partie des formations à l’affiche du Festival Résidence / Artistes en Résistance à l’Opéra de Dijon où il donnera (via le streaming) trois concerts les 8, 9 et 10 juin. Fondées en 2008 par Judith Pacquier (dir. artistique) et Etienne Meyer (dir. musicale), Les Traversées baroques aiment à explorer des répertoires méconnus, comme le prouve un très bel enregistrement sorti début avril (2CD Accent) de l’oratorio Il trionfo della morte per il peccato d’Adamo de Bonaventura Aliotti (vers 1640-vers 1690), un frère franciscain mineur originaire de Palerme. Créé en 1677 à Ferrare, son Trionfo offre une musique très expressive portée par un orchestre d’une ampleur et d’une richesse peu communes. Une dimension perceptible dès la Sinfonia introductive, que l’on découvre ici.

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    26 Mai 2020
  • Après Ingrid Perruche dans les Merveilles de l’Opéra de C.-F. Panard, au tour de Laurent Naouri de répondre à l’appel des Lunaisiens et d’aborder un autre poète et chansonnier français : Adam Billaut (1602-1662), surnommé le «Virgile au rabot ». C’est en 1644 que Maître Adam – « fameux poëte et fameux menuisier » selon Corneille, qui lui a consacré un sonnet – écrivit « Aussitôt que la lumière ». Cette page, selon Arnaud Marzorati, « incarne toute la noblesse de la grande chanson à boire ; répertoire bachique qui nous révèle que grands vins et grandes voix ont toujours eu le plaisir de se réunir pour partager la joie de l'ivresse artistique. Une ivresse modérée, savante qui se retrouvera également dans le Caveau français du XVIIIe siècle, où des chansonniers comme Crébillon, Rameau ou Casanova entonneront à leur tour des airs sérieux et précieux à la gloire de la "Dive Bouteille". Enfin, tous les grands opéras s'abreuvent du plaisir de la "chanson à boire" : de Lully au Faust de Gounod, on retrouve dans nos plus belles pages du répertoire lyrique l'esprit et la saveur de l'œuvre d'Adam Billaut. »

    Ce cycle de vidéos est disponible sur la page Facebook des Lunaisiens, où Arnaud Marzorati propose par ailleurs pendant tout le confinement une petite chronique sur la riche histoire de la chanson.

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    Page Facebook des Lunaisiens

    Musique en confinement

    05 Mai 2020
  • « Dans les mœurs, comme dans l'esprit, il tenait beaucoup du naturel simple et naïf de La Fontaine », disait Marmontel du chansonnier Charles-François Panard (1689-1765). En 1733, il écrivit Les Merveilles de l’Opéra, chanson parodique qui moque la tragédie lyrique. Ingrid Perruche la chante sur l'invitation des Lunaisiens qui proposent pendant tout le confinement à leurs amis musiciens (chanteurs et instrumentistes) d'interpréter une chanson baroque française du XVII ou XVIIIe siècle du répertoire des Lunaisiens. Ce cycle de vidéos (partagé par le CMBV #baroquecheznous) est disponible sur la page Facebook des Lunaisiens, où Arnaud Marzorati propose par ailleurs pendant tout le confinement une petite chronique sur la riche histoire de la chanson.

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    Page Facebook des Lunaisiens

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    Musique en confinement

     

    20 Avril 2020
  • De l’opéra-bouffe à la chanson, Flannan Obé déploie un talent d’une incroyable diversité. C’est du côté du one-man show et du cabaret qu’on le retrouve avec « Je ne suis pas une libellule », spectacle que le chanteur a signé en 2016 et où il se raconte avec tendresse, humour et émotion.

    Plus d'infos sur Flannan Obé

    Musique en confinement.

     

    30 Mars 2020
  • Fichu Coronavirus ! On se réjouissait de savourer la reprise de “L’Amour vainqueur” à l’Opéra de Limoges début avril, spectacle dont Olivier Py a signé le texte, la mise en scène et la musique.
    A défaut, Flannan Obé nous en offre un extrait : La Chanson du Jardinier.
    En version a cappella, confinement oblige.

    Site de Flannan Obé

    Musique en confinement.

     

    25 Mars 2020
  • Extrait de George Balanchine à l'Opéra Bastille.
    Les Étoiles, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet, l'Orchestre de l’Opéra national de Paris.
    Opéra Bastille.
    Musique de Jean-Sébastien Bach, Piotr Ilyitch Tchaikovski et Paul Hindemith.

     

    18 Février 2020
  • Lancé en 2016 par un collectif de jeunes, l’Orchestre des Jeunes d’Île-de-France est un tremplin pour les jeunes musiciens professionnels. Placé sous la direction de David Molard Soriano, l’OJIF se donne pour mission de proposer aux jeunes, à la charnière de leurs études et de leur carrière, les conditions professionnelles exigeantes qu’ils rencontreront bientôt : quelques répétitions seulement, encadrées par des musiciens titulaires des plus grandes phalanges, des programmes ambitieux, des solistes renommés... Tous les concerts ont été filmés : l’Oiseau de feu (en version intégrale), la Symphonien°3 de Saint-Saëns avec Thomas Ospital à Saint-Eustache, le Concerto n°2 de Chopin avec Nathanaël Gouin, entre autres. Actuellement dans la fosse du Théâtre des Champs-Elysées pour l’opéra participatif Les Petites Noces d’après Mozart, l’OJIF revient les 18 et 19 avril à Paris pour une mise en perspective du Requiem de Mozart.

    > Plus d'infos

     

    03 Février 2020
  • Nommée dans la catégorie "Révélations, artiste lyrique" des Victoires de la Musique Classique 2020, la soprano Marie Perbost chante "O mio babbino caro", extrait de l'opéra Gianni Schicchi de Puccini, en compagnie de la pianiste Joséphine Ambroselli.

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.

    03 Février 2020

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