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  • Nommé dans la catégorie "soliste instrumental" des révélations des Victoires de la Musique Classique 2021, le percussionniste Aurélien Gignoux joue une transcription pour marimba des Barricades Mystérieuses de Couperin. 

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    26 Janvier 2021
  • Akhenaton fut l’un des pharaons les plus marquants de l’Égypte ancienne. Il réussit en effet à imposer l’un des premiers monothéismes de l’histoire, faisant de Râ, le dieu soleil, la seule et unique divinité de son royaume.

    Quand le compositeur américain Philip Glass décide de consacrer plusieurs opéras à de grandes figures de l’histoire, Akhenaton s’impose à lui avec évidence. Après Einstein on the Beach (1976) et Satyagraha (1980), Aknathen vient clore avec brio cette trilogie. Utilisant des textes de l’époque, dont un poème d’Akhenaton lui-même, l’ouvrage parcourt son règne aussi brillant qu’original depuis son accession au trône après la mort de son père Aménophis III, jusqu’à sa chute. Akhnaten recèle quelques moments phares de la musique minimaliste, comme la géniale scène du couronnement !

    Nouvelle production

    Distribution
    Direction musicale : Léo Warynski
    Mise en scène et chorégraphie : Lucinda Childs
    Scénographie et costumes : Bruno De Lavenère
    Lumières : David Debrinay
    Vidéo : Étienne Guiol

    Akhnaten : Fabrice Di Falco
    Nefertiti : Julie Robard-Gendre
    Reine Tye : Patrizia Ciofi
    Horemhab : Joan Martín-Royo 
    Amon : Frédéric Diquero
    Aye : Vincent Le Texier
    Amenhotep (rôle parlé) : Lucinda Childs
    Six filles d’Akhnaten : Karine Ohanyan, Rachel Duckett, Mathilde Lemaire Vassiliki Koltouki, Annabella Ellis, Aviva Manenti 

    18 Janvier 2021
  • Novencento par le Secession Orchestra sous la direction de Clément Mao-Takacs, accompagné par la soprano Marie-Laure Garnier.
    Programme consacré à la musique italienne du début du 20e siècle :
     
    Ottorino Respighi
    Trittico botticelliano
    Pietro Mascagni
    Extraits de Cavalleria Rusticana
    Luigi Dallapiccola
    Piccola Musica Notturna
    Giacomo Puccini
    Extraits de Manon Lescaut
    Alfredo Casella
    Pupazzetti
    Francesco Paolo Tosti
    Quattro Canzoni d’Amaranta
    Nino Rota
    Sonata per orchestra da camera
    18 Janvier 2021
  • Episode n°3 du Calendrier musical de l'Avent de l'Orchestre des Pays de Savoie. Au programme le Terzetto pour deux violons et alto opus 74 de Dvorak.
    04 Décembre 2020
  • La musique française réussit tout particulièrement au Quatuor Tchalik. Un an après un concert Reynaldo Hahn (compositeur auquel la formation vient de consacrer un magnifique enregistrement https://bit.ly/3pBRFUe) au Palazzetto Bru Zane, les quatre jeunes musiciens étaient de retour à Venise fin octobre pour un rendez-vous inscrit dans le cadre du Festival « Camille Saint-Saëns, l’homme-orchestre ».  Sous leurs archets inspirés, le Quatuor n° 1 (1899) – opus majeur de la littérature de quatuor au tournant du siècle – montre toute la force d’inspiration qui le sous-tend, tandis que le Quatuor n° 2 (1918), d’humeur nettement plus légère, se déploie avec élégance et esprit.

    18 Novembre 2020
  • Cap sur l’Angleterre de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle avec le programme « O Solitude » présenté par Le Consort en clôture du Festival de Royaumont 2020. Comme son intitulé le laisse supposer, il fait largement honneur à Henry Purcell (1659-1695), avec diverses pages vocales, confiées au contre-ténor Paul-Antoine Bénos-Djian, mais aussi un ground pour clavecin et la Sonata of Four Parts Z 807, placés en introduction. Purcell auquel John Blow rend hommage dans l’émouvante Ode on the Death de Henry Purcell, écrite un an après la disparition prématurée de son ancien élève et ami.

    Côté instrumental, le programme du Consort réserve par ailleurs une belle place à Nicola Matteis (1650-1714), violoniste virtuose et compositeur d’origine napolitaine qui mena une très belle carrière à Londres à partir de 1672 et contribua à y développer le goût de la musique italienne.

    Programme détaillé : http://bit.ly/Programme-OSolitude

    10 Novembre 2020
  • La musique du XVIIe siècle français occupe depuis l’origine une place essentielle dans le répertoire de l’Ensemble Correspondances, Marc-Antoine Charpentier (1643-1704) en particulier. Très présent dans la discographie de la formation, cet auteur inspire un nouvel enregistrement (Harmonia Mundi / HMM 902640), splendide, bâti autour de la Messe à quatre chœurs H.4. Cette partition majeure traduit l’influence de l’écriture polychorale italienne sur un compositeur qui avait effectué un séjour en Italie au mitan des années 1660. Prenant prétexte de celui-ci et des découvertes qui le ponctuèrent, Sébastien Daucé a imaginé un programme aux allures de voyage imaginaire menant le jeune musicien français à Bologne, Venise, Crémone et Rome. Précédée de pages de Cazzati, Cavalli, Merula, Beretta, Giamberti et Benevoli, la Messe à quatre chœurs prend toute sa signification ainsi mise en perspective.

    Plus d'infos sur l'Ensemble Correspondances
    Plus d'infos sur Harmonia Mundi

     

    03 Novembre 2020
  • Lea Desandre, nommée "Révélation lyrique" aux Victoires de la Musique Classique en 2017, interprète "Armatae face et anguibus" extrait de l'opéra Juditha triumphans de Vivaldi, accompagnée de l'Ensemble Jupiter : Thomas Dunford au luth, Peter Whelan au basson, le violoncelliste Bruno Philippe, également "Révélation" aux Victoires de la Musique (2018), Jean Rondeau au clavecin et à l'orgue, Cecilia Bernardini et Louis Creac'h (violons), Jérôme Van Waerbeke (alto) et Douglas Balliett (contrebasse).

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    19 Octobre 2020
  • Sommet absolu de l’art polyphonique, les motets de Bach exultent d’une allégresse qui pourrait surprendre lorsqu’on connait leur destination liturgique la plus fréquente : des services funèbres. À l’invitation du Motet BWV 225, Raphaël Pichon et son équipe nous entraînent dans cette interprétation jubilatoire, véritable hymne à la danse habilement mis en regard de la grande tradition du motet allemand. Le travail collectif effectué par Pygmalion tant sur le plan du style que celui du texte, rend pleinement justice à cette exubérance chorale.

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    19 Octobre 2020
  • Noh-Bach, programme imaginé autour du Clavier bien tempéré de Jean-Sébastien Bach par Frédérick Haas avec le danseur de théâtre Nō Masato Matsuura. « Ce détour par l’Orient, explique Frédérick Haas, permet de prendre du recul, de réagir aux stéréotypes de la musique baroque d’aujourd’hui, à cette récente tradition d’interprétation européenne tout juste retrouvée alors que celle du théâtre Nō est ininterrompue depuis huit cents ans. »

    29 Septembre 2020
  • Interview de Denis Herlin et Cécile Quesney

    Remarquable musicien, chef d’orchestre et compositeur exigeant, Caplet était porté par l’idéal d’un art vocal et instrumental intime, parfois audacieux et très souvent inspiré par le sentiment religieux. Sa personnalité musicale, marquée par celle de Debussy, s’est développée au fil d’une carrière très dense, mais aussi discontinue, partagée entre composition et interprétation. À partir des nombreuses sources disponibles aujourd’hui, le présent volume examine les différentes étapes du parcours de Caplet et les spécificités de son œuvre envoûtante et protéiforme. Enrichies de documents inédits, dont de nouvelles lettres de Debussy, ces contributions dévoilent toutes les facettes d’une figure marquante de la musique française du début du XXe siècle.

    22 Septembre 2020
  • Vers 1846, à l’attention de Pauline Chazaren, une élève qui lui avait été envoyée par Liszt, Frédéric Chopin entreprit d’annoter le Livre I du Clavier Bien Tempéré de Bach – un devancier auquel le Polonais vouait on le sait un véritable culte. Après avoir longtemps dormi dans une collection privée, ce document passionnant paraît aux Editions Symétrie grâce à l’initiative de la Société Française de Musicologie. Grand spécialiste de Chopin, Jean-Jacques Eigeldinger a rédigé le commentaire d’un facsimile qui souligne à quel point la musique de Bach demeurait vivante pour l’auteur des Mazurkas. Il présente ici cette entreprise éditoriale, avec en contrepoint des extraits interprétés par Nathanël Gouin.

    14 Septembre 2020

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