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Nommé dans la catégorie "soliste instrumental" des Révélations des Victoires de la Musique Classique 2021, le pianiste Jean-Paul Gasparian joue la Polonaise n°6 op.53, "Héroïque" de Chopin.
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26 Janvier 2021 -
Nommé dans la catégorie "soliste instrumental" des Révélations des Victoires de la Musique Classique 2021, le percussionniste Aurélien Gignoux joue "Laideronnette, impératrice des Pagode" extrait de Ma mère l’oye de Ravel dans une transcription pour marimba et petites percussions.
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26 Janvier 2021 -
Nommé dans la catégorie "soliste instrumental" des Révélations des Victoires de la Musique Classique 2021, le percussionniste Aurélien Gignoux joue Etude d'impact du compositeur Yan Maresz.
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26 Janvier 2021
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Nommé dans la catégorie "soliste instrumental" des révélations des Victoires de la Musique Classique 2021, le percussionniste Aurélien Gignoux joue une transcription pour marimba des Barricades Mystérieuses de Couperin.
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26 Janvier 2021 -
Akhenaton fut l’un des pharaons les plus marquants de l’Égypte ancienne. Il réussit en effet à imposer l’un des premiers monothéismes de l’histoire, faisant de Râ, le dieu soleil, la seule et unique divinité de son royaume.
Quand le compositeur américain Philip Glass décide de consacrer plusieurs opéras à de grandes figures de l’histoire, Akhenaton s’impose à lui avec évidence. Après Einstein on the Beach (1976) et Satyagraha (1980), Aknathen vient clore avec brio cette trilogie. Utilisant des textes de l’époque, dont un poème d’Akhenaton lui-même, l’ouvrage parcourt son règne aussi brillant qu’original depuis son accession au trône après la mort de son père Aménophis III, jusqu’à sa chute. Akhnaten recèle quelques moments phares de la musique minimaliste, comme la géniale scène du couronnement !
Nouvelle production
Distribution
Direction musicale : Léo Warynski
Mise en scène et chorégraphie : Lucinda Childs
Scénographie et costumes : Bruno De Lavenère
Lumières : David Debrinay
Vidéo : Étienne GuiolAkhnaten : Fabrice Di Falco
Nefertiti : Julie Robard-Gendre
Reine Tye : Patrizia Ciofi
Horemhab : Joan Martín-Royo
Amon : Frédéric Diquero
Aye : Vincent Le Texier
Amenhotep (rôle parlé) : Lucinda Childs
Six filles d’Akhnaten : Karine Ohanyan, Rachel Duckett, Mathilde Lemaire Vassiliki Koltouki, Annabella Ellis, Aviva Manenti18 Janvier 2021 -
Novencento par le Secession Orchestra sous la direction de Clément Mao-Takacs, accompagné par la soprano Marie-Laure Garnier.Programme consacré à la musique italienne du début du 20e siècle :
Ottorino Respighi
Trittico botticellianoPietro Mascagni
Extraits de Cavalleria RusticanaLuigi Dallapiccola
Piccola Musica NotturnaGiacomo Puccini
Extraits de Manon LescautAlfredo Casella
PupazzettiFrancesco Paolo Tosti
Quattro Canzoni d’AmarantaNino Rota
Sonata per orchestra da camera18 Janvier 2021
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Episode n°3 du Calendrier musical de l'Avent de l'Orchestre des Pays de Savoie. Au programme le Terzetto pour deux violons et alto opus 74 de Dvorak.04 Décembre 2020
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La musique française réussit tout particulièrement au Quatuor Tchalik. Un an après un concert Reynaldo Hahn (compositeur auquel la formation vient de consacrer un magnifique enregistrement https://bit.ly/3pBRFUe) au Palazzetto Bru Zane, les quatre jeunes musiciens étaient de retour à Venise fin octobre pour un rendez-vous inscrit dans le cadre du Festival « Camille Saint-Saëns, l’homme-orchestre ». Sous leurs archets inspirés, le Quatuor n° 1 (1899) – opus majeur de la littérature de quatuor au tournant du siècle – montre toute la force d’inspiration qui le sous-tend, tandis que le Quatuor n° 2 (1918), d’humeur nettement plus légère, se déploie avec élégance et esprit.
18 Novembre 2020 -
Cap sur l’Angleterre de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle avec le programme « O Solitude » présenté par Le Consort en clôture du Festival de Royaumont 2020. Comme son intitulé le laisse supposer, il fait largement honneur à Henry Purcell (1659-1695), avec diverses pages vocales, confiées au contre-ténor Paul-Antoine Bénos-Djian, mais aussi un ground pour clavecin et la Sonata of Four Parts Z 807, placés en introduction. Purcell auquel John Blow rend hommage dans l’émouvante Ode on the Death de Henry Purcell, écrite un an après la disparition prématurée de son ancien élève et ami.
Côté instrumental, le programme du Consort réserve par ailleurs une belle place à Nicola Matteis (1650-1714), violoniste virtuose et compositeur d’origine napolitaine qui mena une très belle carrière à Londres à partir de 1672 et contribua à y développer le goût de la musique italienne.
Programme détaillé : http://bit.ly/Programme-OSolitude
10 Novembre 2020
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La musique du XVIIe siècle français occupe depuis l’origine une place essentielle dans le répertoire de l’Ensemble Correspondances, Marc-Antoine Charpentier (1643-1704) en particulier. Très présent dans la discographie de la formation, cet auteur inspire un nouvel enregistrement (Harmonia Mundi / HMM 902640), splendide, bâti autour de la Messe à quatre chœurs H.4. Cette partition majeure traduit l’influence de l’écriture polychorale italienne sur un compositeur qui avait effectué un séjour en Italie au mitan des années 1660. Prenant prétexte de celui-ci et des découvertes qui le ponctuèrent, Sébastien Daucé a imaginé un programme aux allures de voyage imaginaire menant le jeune musicien français à Bologne, Venise, Crémone et Rome. Précédée de pages de Cazzati, Cavalli, Merula, Beretta, Giamberti et Benevoli, la Messe à quatre chœurs prend toute sa signification ainsi mise en perspective.
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> Plus d'infos sur Harmonia Mundi> Voir les prochains concerts "Marc-Antoine Charpentier" en France
03 Novembre 2020 -
Lea Desandre, nommée "Révélation lyrique" aux Victoires de la Musique Classique en 2017, interprète "Armatae face et anguibus" extrait de l'opéra Juditha triumphans de Vivaldi, accompagnée de l'Ensemble Jupiter : Thomas Dunford au luth, Peter Whelan au basson, le violoncelliste Bruno Philippe, également "Révélation" aux Victoires de la Musique (2018), Jean Rondeau au clavecin et à l'orgue, Cecilia Bernardini et Louis Creac'h (violons), Jérôme Van Waerbeke (alto) et Douglas Balliett (contrebasse).
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19 Octobre 2020 -
Sommet absolu de l’art polyphonique, les motets de Bach exultent d’une allégresse qui pourrait surprendre lorsqu’on connait leur destination liturgique la plus fréquente : des services funèbres. À l’invitation du Motet BWV 225, Raphaël Pichon et son équipe nous entraînent dans cette interprétation jubilatoire, véritable hymne à la danse habilement mis en regard de la grande tradition du motet allemand. Le travail collectif effectué par Pygmalion tant sur le plan du style que celui du texte, rend pleinement justice à cette exubérance chorale.
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19 Octobre 2020