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  • Lea Desandre, nommée "Révélation lyrique" aux Victoires de la Musique Classique en 2017, interprète "Armatae face et anguibus" extrait de l'opéra Juditha triumphans de Vivaldi, accompagnée de l'Ensemble Jupiter : Thomas Dunford au luth, Peter Whelan au basson, le violoncelliste Bruno Philippe, également "Révélation" aux Victoires de la Musique (2018), Jean Rondeau au clavecin et à l'orgue, Cecilia Bernardini et Louis Creac'h (violons), Jérôme Van Waerbeke (alto) et Douglas Balliett (contrebasse).

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    Sélection Concertclassic, les meilleures vidéos de musique classique

    19 Octobre 2020
  • Ancienne élève de Roland Pidoux au CNSM de Paris et de Gary Hoffman à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, lauréate de la Fondation d’Entreprise Banque Populaire, Julie Sévilla-Fraysse interprète l’Allemande de la Suite n° 1 BWV 1007 de Bach. 
    S’agissant du répertoire pour violoncelle seul, rappelons que l’interprète a signé une version pleine de caractère de l’immense Sonate op. 8 de Zoltán Kodály, à découvrir au sein d’un programme intitulé «Folklore » (Klarthe), où elle interprète par ailleurs des pages de Dvorak, Popper et le rare et magnifique Pohádka de Janáček avec la complicité d’Antoine de Grolée au piano.
     
     
    Musique en confinement
    10 Mai 2020
  • Tous les quatre membres de l’orchestre Les Siècles, Stéphane Morvan (cor anglais), Simon Milone (violon), Mathieu Kazolter (violon) & Guillaume François (violoncelle) interprètent l’Adagio KV 580a. De cette secrète et émouvante pièce, écrite en 1789, Mozart réutilisera le thème deux ans plus tard dans l’une de ses dernière compositions : l’Ave verum Corpus KV 618.

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    Stéphane Morvan présente le cor anglais

    Musique en confinement

    07 Mai 2020
  • Musique en confinement mais à l’air libre pourtant pour Camille Thomas, comme on peut le constater avec cette vidéo haut-perchée. La violoncelliste a choisi la Danse des Esprits bienheureux de Gluck, page fameuse tirée de l’acte II d’Orphée et Eurydice, une pièce qui figure au programme du disque « Voice of Hope », enregistré avec le Brussels Philharmonic (dir. Stéphane Denève) pour DG. Sous le même label, l’interprète a précédemment signé une tonique et lumineuse version du Concerto pour violoncelle n°1 de Saint-Saëns avec l’Orchestre National de Lille mené par Alexandre Bloch.

    Julien Brocal donne ici la réplique à Camille Thomas. Ancien élève de Maria João Pires, le pianiste, après un disque Chopin (Rubicon) couronné d’un « BBC Music Magazine Award » en 2018, a livré un séduisant programme Ravel/Mompou (Rubicon).

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    05 Mai 2020
  • L’histoire de la Musique est pleine d’expérimentations de la facture instrumentale demeurées sans suite. Ainsi l’arpeggione, sorte de violoncelle-guitare imaginé par Johann Georg Staufer, a-t-il été oublié. Son nom le serait peut-être aussi, n’était la sonate que le luthier viennois commanda à Schubert en 1824 et qui, passée au répertoire des violoncellistes, porte son nom. A quoi ressemblait l’arpeggione ? L’instrument que Guido Balestracci tient entre ses mains vous le montre.

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    30 Mars 2020
  • Musique en confinement.
    Conçues pour violon solo, les 3 Sonates et 3 Partitas BWV 1001 à 1006 (un recueil finalisé par Bach en 1720) s’accommodent fort bien du passage à l’alto et y dévoilent un visage nouveau mais non moins fascinant que dans leur destination originelle. « Une archet qui joue du Bach, c’est le début d’un tableau cubiste », affirmait Georges Braque ...

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    30 Mars 2020
  • La violoniste Raphaëlle Moreau est nommée dans la catégorie "Révélations, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020. Elle joue, avec la pianiste Célia Oneto Bensaid, le Scherzo-Tarentelle de  Henryk Wieniawski. 

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.

    03 Février 2020
  • La violoniste Raphaëlle Moreau est nommée dans la catégorie "Révélation, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020. Elle joue avec la pianiste Célia Oneto Bensaid la Sérénade (arrangement de Kreisler) de Cécile Chaminade.  

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.

    03 Février 2020
  • Nommé dans la catégorie "Révélations, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020, le violoniste Théotime Langlois de Swarte joue l'adagio et la corrente de la Sonate en sol mineur de Henri Eccles, en compagnie  de Justin Taylor et Thomas Dunford. 

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.

     

    03 Février 2020
  • Nommé dans la catégorie "Révélations, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020, le violoniste Théotime Langlois de Swarte joue "The Mad Lover" de John Eccles, en compagnie de Justin Taylor et Thomas Dunford.  

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.
     

    03 Février 2020
  • Nommé dans la catégorie "Révélations, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020, le violoniste Théotime Langlois de Swarte interprète des extraits de la Folia de Corelli, en compagnie de Thomas Dunford et Justin Taylor.
     

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.

     
    03 Février 2020
  • Étrange destinée que celle de l’arpeggione, instrument inventé en 1823. Connu également sous le nom de « guitare d’amour », l’arpeggione est en fait une guitare munie d’un chevalet, tenu entre les genoux comme un violoncelle et joué avec un archet. L’instrument connut un certain succès durant une dizaine d’années, mais, curieusement quasi rien n’est conservé de son répertoire spécifique si ce n’est le chef-d’œuvre absolu qu’est la sonate que lui dédie Franz Schubert en 1824.
    C’est autour de cette célèbre sonate que Guido Balestracci et les musiciens de l’Amoroso ont construit une délicieuse Schubertiade, réunissant autour de l’arpeggione et du piano, la voix et les guitares qui s’approprient tout un répertoire empruntés aux Lieder du compositeur viennois.
     
     
     
    21 Janvier 2020

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