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  • J'ai langui est extrait du recueil Airs sérieux et à boire (1709) de Nicolas Racot de Grandval (1676-1753), écrivain et compositeur, claveciniste. Né à Paris, Nicolas Racot de Grandval intègre une troupe de comédiens ambulants pour laquelle il écrit des divertissements et des musiques de scène. En 1695-1696, il accompagne au clavecin les divertissements et ballets donnés à Versailles.

    Il intègre la Comédie-Française comme acteur en 1729. Il est l'auteur de nombreuses comédies et de quelques tragédies, dont la plupart sont restées inédites. Il est par la suite organiste de l'église Saint-Eustache à Paris.
    (Musicologie.org)

    Avec Marie Perbost (soprano), Anna Reinhold (mezzo-soprano) et Thibault de Damas (baryton-basse).

    Rediffusion du concert donné par l'Ensemble Il Caravaggio dirigé par Camille Delaforge au Festival de Sablé le 29 août 2020.

    Captation réalisée avec le soutien de la Caisse des Dépôts.

    Voir les autres extraits du concert

    Plus d'infos sur Il Caravaggio
    Festival de Sablé
    Le Projet RestonsConnectésAuClassique
     

    08 Mars 2021
  • Cap sur l’Angleterre de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle avec le programme « O Solitude » présenté par Le Consort en clôture du Festival de Royaumont 2020. Comme son intitulé le laisse supposer, il fait largement honneur à Henry Purcell (1659-1695), avec diverses pages vocales, confiées au contre-ténor Paul-Antoine Bénos-Djian, mais aussi un ground pour clavecin et la Sonata of Four Parts Z 807, placés en introduction. Purcell auquel John Blow rend hommage dans l’émouvante Ode on the Death de Henry Purcell, écrite un an après la disparition prématurée de son ancien élève et ami.

    Côté instrumental, le programme du Consort réserve par ailleurs une belle place à Nicola Matteis (1650-1714), violoniste virtuose et compositeur d’origine napolitaine qui mena une très belle carrière à Londres à partir de 1672 et contribua à y développer le goût de la musique italienne.

    Programme détaillé : http://bit.ly/Programme-OSolitude

    10 Novembre 2020
  • Après Ingrid Perruche dans les Merveilles de l’Opéra de C.-F. Panard, au tour de Laurent Naouri de répondre à l’appel des Lunaisiens et d’aborder un autre poète et chansonnier français : Adam Billaut (1602-1662), surnommé le «Virgile au rabot ». C’est en 1644 que Maître Adam – « fameux poëte et fameux menuisier » selon Corneille, qui lui a consacré un sonnet – écrivit « Aussitôt que la lumière ». Cette page, selon Arnaud Marzorati, « incarne toute la noblesse de la grande chanson à boire ; répertoire bachique qui nous révèle que grands vins et grandes voix ont toujours eu le plaisir de se réunir pour partager la joie de l'ivresse artistique. Une ivresse modérée, savante qui se retrouvera également dans le Caveau français du XVIIIe siècle, où des chansonniers comme Crébillon, Rameau ou Casanova entonneront à leur tour des airs sérieux et précieux à la gloire de la "Dive Bouteille". Enfin, tous les grands opéras s'abreuvent du plaisir de la "chanson à boire" : de Lully au Faust de Gounod, on retrouve dans nos plus belles pages du répertoire lyrique l'esprit et la saveur de l'œuvre d'Adam Billaut. »

    Ce cycle de vidéos est disponible sur la page Facebook des Lunaisiens, où Arnaud Marzorati propose par ailleurs pendant tout le confinement une petite chronique sur la riche histoire de la chanson.

    Plus d’infos sur les Lunaisiens

    Page Facebook des Lunaisiens

    Musique en confinement

    05 Mai 2020
  • De l’opéra-bouffe à la chanson, Flannan Obé déploie un talent d’une incroyable diversité. C’est du côté du one-man show et du cabaret qu’on le retrouve avec « Je ne suis pas une libellule », spectacle que le chanteur a signé en 2016 et où il se raconte avec tendresse, humour et émotion.

    Plus d'infos sur Flannan Obé

    Musique en confinement.

     

    30 Mars 2020
  • J'aime pas les concerts... Mais j'prendrais bien un café !
    Les cafés-concerts, présents à Paris dès la fin du XVIIIe siècle, fleurissent dans la France de la deuxième partie du XIXe siècle. Lieux de divertissement et de rencontre, on connaît leur influence sur la production de certains peintres (notamment Toulouse-Lautrec), mais la musique qui y était jouée reste un continent à redécouvrir. Rodolphe Briand, accompagné au piano par Vincent Leterme, nous donne une premiére visite guidée de cet Eldorado.
     
    Du 13 au 15 décembre 2019, Studio Marigny
    Production Bru Zane France
    26 Novembre 2019
  • Cyprien N'tsaï interprète Arpoador du compositeur brésilien, né en 1952, Sergio Assad, extrait des 3 Divertimientos.

    Plus de vidéos sur Cyprien N'tsaï

     

    13 Mai 2019
  • Interview de Nicolas Ramez, cor, Révélation Classique Adami 2017.
    Nicolas débute le cor avec François Mérand au CRR de Nantes. A l’âge de 11 ans, il gagne le premier prix du concours Wassermassons « cor petites mains ». En 2011, il obtient le second prix au Concours International de Brno puis en 2016 remporte le 3e prix du concours international de l'ARD de Munich. A 16 ans, il est admis au CNSM de Paris, dans la classe d’André Cazalet où il obtient son Master. Apprécié pour ses qualités de chambriste, Nicolas a été invité à se produire au sein de la « Folle Journée Camerata » fondée par René Martin en 2014, avec laquelle il a eu l’occasion de participer à « La Folle Journée du Japon » et « La folle Journée de Nantes ». Depuis janvier 2016, il occupe le poste de premier cor solo au sein de l’orchestre de chambre de Paris. Il continue également de s’investir dans divers projets notamment avec l’ensemble Ouranos, quintette à vent soutenu par la fondation Singer-Polignac, avec lequel il participe à de nombreuses manifestations musicales à travers la France.

    Vidéo réalisée par l'agence 3foisC

    16 Janvier 2018
  • Interview de Kaëlig Boché, ténor, Révélation Classique Adami 2017.
    Originaire de Bretagne, Kaëlig Boché découvre le chant lorsqu’il est enfant grâce au Chœur d’Enfants de Bretagne. Il se forme dans les conservatoires de région de Rennes et Paris avant d’être reçu au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris où il poursuit désormais sa professionnalisation. Son parcours musical se jalonne de nombreuses et diverses expériences allant de l’opéra à la musique contemporaine (Festival Messiaen, Festival de Lagrasse, Jeunes Talents, Festival de la Lucerne, Ensemble Akademia, Séquenza 9.3 etc). Il se produit aussi régulièrement en récital avec les pianistes Thomas Tacquet, Tanguy de Williencourt ou Adam Laloum. Kaëlig réalise la création d’œuvres des compositrices Isabelle Fraisse et Rania Awada ainsi qu’un opéra de Julien Le Hérissier. Cette saison il sera Uriel dans La Création de Haydn sous la direction de David Reiland à Notre Dame de Paris et est en préparation de concerts et enregistrements autour des commémorations de la Grande Guerre.
     
    Vidéo réalisée par l'agence 3foisC
    16 Janvier 2018
  • Fabien Hyon, ténor, Révélation Classique Adami 2015. Interview.
    Fabien Hyon intègre en 2011 le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Malcolm Walker. 
    Il chante pour plusieurs festivals et opéras (D’Tour Classique, Sinfonia en Périgord, Musica, Jeunes Talents, Scène Nationale de Châlons-en-Champagne, Théâtre du Châtelet, Théâtre Impérial de Compiègne, Philarmonie de Wroclaw en Pologne …).

    Amoureux de la scène, son répertoire s‘étend du baroque au contemporain. A l’opéra (Il Viaggio a Reims, L’Incoronazione di Poppea, La Carmélite, Candide…), en oratorio (Die Schöpfung, Passion selon St Marc, Petite Messe Solennelle…) ou avec diverses formations de musique de chambre, il multiplie les rencontres musicales et humaines et partage sa passion du chant et des mots.

    Plus d'information sur l'Adami : www.adami.fr
    ​Reportage réalisé Concertclassic.com au Festival de Prades 2015. http://prades-festival-casals.com

    Voir le Rondo « Ah, je vais l’aimer » de Bénédicte de Berlioz par Fabien Hyon

    Voir le Rondo « J’ai 25 ans… » de Ciboulette de Hahn par Fabien Hyon

    Voir l’air d’Arabe d’Idomeneo de Mozart par Fabien Hyon

     

    18 Janvier 2016
  • Une composition résolument contemporaine pour évoquer le rebetiko, musique des marges, des laissés pour compte et des musiciens errants, divertissement des pickpockets, des mendiants ou des réfugiés. Ces musiques des sans-espoir issues des bas-fonds athéniens des années 1920 expriment encore aujourd’hui, près d’un siècle plus tard, l’état d’esprit d’un peuple qui s’enfonce progressivement dans la misère et la réalité d’une conscience collective qui se pense comme un acte de résistance.
    Avec l’Ensemble TM+ dirigé par Laurent Cuniot, le Chœur Lyrique du Conservatoire de Nanterre, le Chœur Résonances de Suresnes, le Chœurs Carpe Diem de Sannois, L’Estudiantina d’Argenteuil (ensemble à plectres).
    Création donnée le 4 octobre 2014 dans le cadre du Festival d’Ile de France à la Maison de la musique de Nanterre (92)
    Plus d’infos : www.festival-idf.fr
    27 Octobre 2014