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  • La violoniste Raphaëlle Moreau est nommée dans la catégorie "Révélations, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020. Elle joue, avec la pianiste Célia Oneto Bensaid, le Scherzo-Tarentelle de  Henryk Wieniawski. 

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.

    03 Février 2020
  • Raphaëlle Moreau est nommée dans la catégorie "révélation, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020. elle joue, avec la pianiste Célia Oneto Bensaid, le Blues de la Sonate en sol majeur de Maurice Ravel.

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.
     

    03 Février 2020
  • La violoniste Raphaëlle Moreau est nommée dans la catégorie "Révélation, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020. Elle joue avec la pianiste Célia Oneto Bensaid la Sérénade (arrangement de Kreisler) de Cécile Chaminade.  

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.

    03 Février 2020
  • Nommé dans la catégorie "Révélations, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020, le violoniste Théotime Langlois de Swarte joue l'adagio et la corrente de la Sonate en sol mineur de Henri Eccles, en compagnie  de Justin Taylor et Thomas Dunford. 

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.

     

    03 Février 2020
  • Nommé dans la catégorie "Révélations, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020, le violoniste Théotime Langlois de Swarte joue "The Mad Lover" de John Eccles, en compagnie de Justin Taylor et Thomas Dunford.  

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.
     

    03 Février 2020
  • Nommé dans la catégorie "Révélations, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020, le violoniste Théotime Langlois de Swarte interprète des extraits de la Folia de Corelli, en compagnie de Thomas Dunford et Justin Taylor.
     

    Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.

     
    03 Février 2020
  • Étrange destinée que celle de l’arpeggione, instrument inventé en 1823. Connu également sous le nom de « guitare d’amour », l’arpeggione est en fait une guitare munie d’un chevalet, tenu entre les genoux comme un violoncelle et joué avec un archet. L’instrument connut un certain succès durant une dizaine d’années, mais, curieusement quasi rien n’est conservé de son répertoire spécifique si ce n’est le chef-d’œuvre absolu qu’est la sonate que lui dédie Franz Schubert en 1824.
    C’est autour de cette célèbre sonate que Guido Balestracci et les musiciens de l’Amoroso ont construit une délicieuse Schubertiade, réunissant autour de l’arpeggione et du piano, la voix et les guitares qui s’approprient tout un répertoire empruntés aux Lieder du compositeur viennois.
     
     
     
    21 Janvier 2020
  • Romances, mélodies & autres œuvres d'Hector Berlioz
    Avec Stéphanie d’Oustrac (mezzo-soprano), Thibaut Roussel (guitare), Tanguy de Williencourt (pianoforte).
    Album publié chez Harmonia Mundi et enregistré au Musée de la musique sur les instruments du musée.
    10 Décembre 2019
  • J'aime pas les concerts... Mais j'prendrais bien un café !
    Les cafés-concerts, présents à Paris dès la fin du XVIIIe siècle, fleurissent dans la France de la deuxième partie du XIXe siècle. Lieux de divertissement et de rencontre, on connaît leur influence sur la production de certains peintres (notamment Toulouse-Lautrec), mais la musique qui y était jouée reste un continent à redécouvrir. Rodolphe Briand, accompagné au piano par Vincent Leterme, nous donne une premiére visite guidée de cet Eldorado.
     
    Du 13 au 15 décembre 2019, Studio Marigny
    Production Bru Zane France
    26 Novembre 2019

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