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Musicologue, grand spécialiste de Sweelinck, Bernhard van den Sigtenhorst Meyer (1888-1953) se consacra aussi à la composition. L’artiste néerlandais a beaucoup écrit pour le piano, mais il a aussi signé en 1930 une Sonatine pour hautbois solo dont le Moderato est ici interprété par Hélène Mourot, membre de l’orchestre Les Siècles.
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Hélène Mourot et son hautboisMusique en confinement
20 Avril 2020 -
La création schumanienne est faite de contrastes ! C’est en 1838, parallèlement aux Kreisleriana, partition hantée et cyclothymique, que le compositeur allemand écrivit ses Scènes d’enfants op. 15. « Des regards jetés en arrière par un homme qui prend de l’âge », a-t-il confié plus tard d’un cycle à ranger parmi les plus poétiques réalisations pianistiques de l’époque romantique. Parmi les treize morceaux du cycle, le n°7 Traumerei (Rêverie) est sans nul doute le plus fameux. Une musique d’une magique simplicité, face laquelle, disait Alban Berg, on ne peut que « s’écrier : ”Comme c’est beau ! ” »
Remarquée pour un très bel album « Impressions 1905 » (Ravel, Debussy & Albéniz - Paraty) (Disque de la Semaine de Concertclassic), Fanny Azzuro prépare une intégrale des Préludes de Serge Rachmaninov.
Musique en confinement
14 Avril 2020 -
Le séjour de Bach à la cour de Köthen (de la fin 1717 à avril 1723) fait figure d’âge d’or pour la musique instrumentale. C’est selon toute vraisemblance vers 1722 qu’il écrivit son unique ouvrage pour flûte solo : la Partita en la mineur.
Transcripteur très actif, d’auteurs italiens en particulier, Bach aura ensuite été beaucoup arrangé, pour piano en particulier, au XIXe et au début du XXe siècle (par Liszt et Busoni entre autres). Plus près de nous, Gustav Leonhardt n’a pas résisté au plaisir d’adapter pour le clavecin la fluide Allemande introductive du BWV 1013, qu’Olivier Fortin nous offre de son confinement bourguignon.Parmi les derniers enregistrements d’Olivier Fortin (chez Alpha Classics), rappelons une belle anthologie François Couperin et un original et dépaysant programme Routes du café, avec les voix de Hana Blazikova, Reinoud Van Mechelen, Lisandro Abadie et l’ensemble Masques. Toujours au côté de celui-ci, l'interprète a récemment signé un programme de concertos à deux clavecins de Bach (BWV 1060, 1061 et 1062) et Pergolesi avec la complicité de son collègue Emmanuel Frankenberg.
Plus d’infos sur Olivier Fortin et l’Ensemble Masques
Musique en confinement
12 Avril 2020
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Si les Sonates n° 2 (1892-1897) et n° 3 (1897), les Etudes op. 8 (1894-1895) et les Préludes op. 11 (1888-1896) sont souvent joués, quantité de morceaux de jeunesse de Scriabine demeurent très méconnus, tel l’Impromptu en fa dièse majeur op. 12 n°1 (1895). Parmi les plus séduisantes illustrations de la « première manière » d’un compositeur nourri de l’exemple de Frédéric Chopin, devancier plus que tout autre admiré, la pièce séduit immédiatement par la plénitude de ses harmonies et sa générosité mélodique.
Sous les doigts de Clément Lefebvre, il dévoile un autre aspect de l’art d’un interprète remarqué en 2018 pour un récital Rameau/Couperin d’une rare poésie (1 CD Evidence) :
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Plus d’infos sur Clément LefebvreMusique en confinement
07 Avril 2020 -
La période de confinement est le moment rêvé pour remettre sur le métier certaines partitions et ... pour prendre quelques libertés avec ces bonnes résolutions !
Petit clin d’œil plein d’humour d’un jeune artiste qui, rappelons-le, a signé un admirable programme Beethoven (1CD Mirare), couronné il y a peu de notre Disque de la Semaine : https://www.concertclassic.com/article/le-disque-de-la-semaine-selim-mazari-joue-beethoven-mirareMusique en confinement
04 Avril 2020 -
L’histoire de la Musique est pleine d’expérimentations de la facture instrumentale demeurées sans suite. Ainsi l’arpeggione, sorte de violoncelle-guitare imaginé par Johann Georg Staufer, a-t-il été oublié. Son nom le serait peut-être aussi, n’était la sonate que le luthier viennois commanda à Schubert en 1824 et qui, passée au répertoire des violoncellistes, porte son nom. A quoi ressemblait l’arpeggione ? L’instrument que Guido Balestracci tient entre ses mains vous le montre.
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Plus d'infos sur Maude Gratton30 Mars 2020
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La viole est son double, pourrait-on dire de Marin Marais (1656-1728) en paraphrasant le mot de Camille Bourniquel au sujet de Chopin et du piano. Une viole dont le disciple de Sainte-Colombe a enrichi la littérature de Cinq Livres (parus entre 1686 et 1725). Du dernier, Guido Balestracci interprète ici deux extraits : le bref Prélude en harpègement, très caractéristique de l’écriture de Marais, suivi du Badinage dont l’intitulé traduit l’humeur tendre et gracieuse.
Site de Guido Balestracci et de l’ensemble L’Amoroso
Musique en confinement
27 Mars 2020 -
Fanny Azzuro et la Sinfonia Varsovia Camerata interprètent le Rondo final du Concerto pour piano n°1 de Beethoven (dans la version pour piano et quintette à cordes de Franz Lachner, 1803-1890) à la Folle Journée de Nantes 202011 Mars 2020
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Vidéo réalisée au Studio Yamaha (Croissy Beaubourg) par 3foisC.
Plus d'infos sur Fanny Azzuro10 Mars 2020
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Pierre Malbos de Latour présente le métier d'accordeur de pianos, métier de l'ombre, indispensable pour l'entretien, la réparation et l'accord des pianos.
Né avec l'évolution du piano au début xixe siècle ce métier n'a commencé à faire l'objet d'une formation spécifique en France qu'avec la création, à l'institut des jeunes aveugles, d'une classe d'accord sous l'impulsion de Claude Montal en 1836. Parallèlement le métier était enseigné par tradition orale au sein des grandes fabriques de pianos ou auprès des réparateurs eux-mêmes issus de ces fabriques. Ce n'est qu'à partir de 1981 que le métier d'accordeur de piano a fait l'objet en France d'une formation professionnelle qui permet aujourd'hui d'obtenir le CAP d'accordeur, ou le CAP d'accordeur-réparateur de piano.
(Source : Wikipédia).
25 Février 2020 -
Nommé dans la catégorie "Révélation, soliste instrumental" des Victoires de la Musique Classique 2020, le hautboïste Gabriel Pidoux joue la Romance n°1 op.94 « Nicht Schnell » de Robert Schumann. Il est accompagné au piano par Jorge Gonzales Buajasan.Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.03 Février 2020
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Nommée dans la catégorie "Révélations, artiste lyrique" des Victoires de la Musique Classique 2020, la soprano Marie Perbost chante La Tour Eiffel de Désiré Dihau. Elle est accompagnée au piano par Joséphine Ambroselli.
Captation réalisée à la Salle Gaveau en janvier 2020.
03 Février 2020