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10 Février 2008
Jean-Charles Hoffelé
Tout à la fois palais, asile d’aliénés et morgue, le décor d’Alessandro Camera exploite au maximum les ressources techniques du plateau du Capitole et porte à...
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10 Février 2008
L’Opéra Théâtre de Metz a confié à Robert Pisani la mise en scène de La Belle Hélène. Son approche de l’ouvrage le plus débridé d’Offenbach s’avère bien sage...
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06 Février 2008
Jacques DOUCELIN
Bonheur rare que de voir un chef et des musiciens s’apprécier mutuellement et le manifester publiquement. C’est ce qui s’est passé une fois de plus entre le...
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03 Février 2008
François LESUEUR
Adapter un classique du répertoire aussi célèbre qu’Orphée et Eurydice n’est ni un crime, ni une nouveauté. L’œuvre de Gluck nous est d’ailleurs parvenue sous...
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01 Février 2008
Jean-Charles Hoffelé
Quoi, un amateur pour succéder à Lulli (nous ergotons mais nous n’aimons pas le y dont les savants l’affublent) ! Ex-pseudomissionnaire au Siam dans le sillage...
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27 Janvier 2008
Alain COCHARD
En Islande, un père (Jörgen), sa fille (Kaethe) et un marin breton (Tual), échoué lors une tempête. Remis de ses mésaventures grâce aux soins attentifs de...
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26 Janvier 2008
Jean-Charles Hoffelé
Fin de cycle. Pour l’heure celui que Peter Stein dédia, dans le cadre noir de l’Opéra de Lyon, à Tchaïkovski. : commencé par une rareté, du moins hors de...
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25 Janvier 2008
Jacques DOUCELIN
En tournée d’hommage à Herbert von Karajan dont on célèbre le centenaire de la naissance cette année, le Philharmonique de Berlin s’est arrêté à Paris. Pour l...
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25 Janvier 2008
Luc HERNANDEZ
L’un respire la démesure et la fausse nonchalance. L’autre la retenue et l’harmonie ciselée. Deux grands pianistes étaient de passage à Lyon, deux artistes...
10 Février 2008Jean-Charles HoffeléTout à la fois palais, asile d’aliénés et morgue, le décor d’Alessandro Camera exploite au maximum les ressources techniques du plateau du Capitole et porte à...
10 Février 2008L’Opéra Théâtre de Metz a confié à Robert Pisani la mise en scène de La Belle Hélène. Son approche de l’ouvrage le plus débridé d’Offenbach s’avère bien sage...